Mahomet avec un M comme Mystification…

Le dictateur de l’Iran nous a annoncé une surprise de son cru pour aujourd’hui  22 août. Il paraît qu’elle sera en rapport avec la sourate 17 du Coran évoquant l’isrê, c’est-à-dire l’envolée nocturne vers un lieu inconnu, du patron des premières armées islamiques, le nommé : Mahomet, suivie de son Miraj (ascension du côté de chez Allah), en équipage avec son cheval Bouraq.

Mais de qui parle-ton ? A-t-il seulement vécu cet homme de Miraj ? Rien n’est moins sûr.

L’un des coups de maître de l’islam régnant fut en effet de nous persuader de l’existence d’un prophète patenté qu’on nomma MoHaMeD, seulement 150 à 200 ans après son existence prétendue. Et deux siècles ce n’est pas rien, surtout à une époque où l’arabe n’était pas même constitué comme langue écrite…

En premier lieu, Mohamed ne désigne nullement un nom propre ni un patronyme. Ce mot définit un attribut que l’on peut traduire par « loué » « digne d’éloge », comme les tibétains qualifient leurs lamas de « Rinpoché » (précieux). La racine indo-européenne MHMD peut également se comparer au qualificatif sanskrit attribué à Gandhi : « Mahatmat » (avec ou sans T final), signifiant « la grande âme », très proche phonétiquement.

Laurent Lagartempe dans son ouvrage incontournable « Petit guide du Coran » éd. Consep, paris 2003, a compté le nombre de fois où Mhmd était cité nommément, comme patronyme personnel désignant un homme précis dans le Coran. Surprise : pas une seule !

Eh oui, Mohamed est en fait le grand absent du fameux livre incréé. Pas un traître mot sur sa vie, ses femmes, ses maîtresse, ses filles, ses meurtres, à croire que les paparazzis romains, grecs, byzantins, persans, éthiopiens, et autres étaient au chômage rien que pour lui.

Les seules et cinq occurrences de la forme MHMD (et HMD) se lisent dans les versets 3 :144, 33 :40, 47 :2, 48 :29 et 66 :6 au sens précité de l’attribut « digne d’éloge ». Cela signifie que Mahomet, en tant que prénom biographique est une invention pure et simple de la postérité.

Le premier biographe connu serait Ibn Is’haq, mort vers 770, soit 140 ans après la mort de MHMD, décrétée par ce même biographe comme étant intervenue en 632.

Le problème supplémentaire, c’est que l’œuvre originale de Ibn Is’haq n’a jamais été retrouvée. Lui, on le connaît par ces critiques contemporains qui niaient la véracité de ses textes (par exemple Malik ibn Anas). Il avait déjà mauvaise réputation…Ensuite on connait ses suiveurs, qui reprirent et amplifièrent la légende sans autre base que le texte de ce Ibn Is’haq lui-même et pour cause… Bref, le premier texte sérieux attesté sur la bio de Mahomet est d’un autre auteur : Ibn Hisham, mort encore plus tard : en 834 (200 ans après). Il existe d’autres biographes al Tabari mort en 922 (300 ans après…)

Est-ce à dire qu’à l’époque on ne faisait pas d’histoire, certes non ! Les chercheurs disposent de quantité d’informations sur l’époque et ses épopées, notamment sur des chefs bédouins comme Abu Bakr et Omar, qui furent récupérés (?) par la suite par l’islam pour les affubler du titre de calife. En toute hypothèse, ce sont certainement leurs biographies qui sont les sources d’inspiration privilégiées du patchwork hétéroclite que constitue la pseudo-vie de MHMD.

En clair, l’histoire galante de MHMD, la Sirat (là aussi, avec ou sans T final), ne relate pas un fait historique, mais prétend faire écho à une chaîne de souvenirs et témoignages posthumes, post eventum.

Le fait scientifique qui devrait réveiller les consciences  (même d’origine musulmane après tout), c’est qu’il n’existe aucune, strictement aucune trace, archéologique ou autre, de ce personnage MHMD, ailleurs que dans des sources militaro-islamiques auto-proclamées, qui avaient un besoin politique (bien réel cette fois) de disposer de cette légende 150 ans plus tard.

La bio people de MHMD fut en effet une « œuvre de commande », diraient les juristes, exigée par le pouvoir califal omeyyade au milieu du 8ème siècle. A cette époque les troupes d’Abd-er-Rhaman avaient déjà perdu la bataille dite de Poitiers face à Charles Martel, et ce depuis une paye…

Autrement dit, la légende de MHMD n’étant pas encore officiellement fixée, peut-être était-elle totalement inconnue pour beaucoup de ceux qu’on nommait les « sarrasins » (gens d’orient) mais pas encore les « musulmans »…

Voilà qui devrait remettre quelques pendules à l’heure …

Tout cela n’a donc rien d’un scoop. De très nombreux historiens de grand renom ont conclu à une légende révisionniste.

Parmi eux, la plus célèbre est sans doute Patricia Crone, danoise d’origine, professeur d’histoire et enseignant toujours aux Etats-Unis. http://fr.wikipedia.org/wiki/Patricia_Crone.

On peut signaler la compilation de nombreux travaux scientifiques à ce sujet, effectuée sous la direction du célèbre apostat Ibn Warraq,  déjà auteur du non moins célèbre "Pourquoi je ne suis pas musulman?", sous le titre « The quest for the historical Muhammad » paru chez Prometheus en 2000.

Chez les francophones, je citerais avec plaisir le professeur Alfred Louis de Prémare, de l’Université d’Aix Marseille-I, en particulier pour ses « fondations de l’islam » parues au Seuil en 2002 et « aux origines du Coran » paru chez Tétraèdre en 2004. On y comprendra notamment que le coran lui-même n’est qu’un recueil de « discours parénétiques », c’est-à-dire d’exhortations, notamment au recrutement militaire (un aide-mémoire de sergents recruteurs en somme…), dont les sources sont les plus diverses et que sa version compilée définitive gardée à Topkapi est elle-même très tardive (9ème siècle) et là aussi post eventum.

Jacqueline Chabbi, professeur à l’université Paris VIII et auteur d’une biographie incorrecte de Mahomet, (Le Seigneur des tribus. L’Islam de Mahomet. Paris, Noesis,1997), nous dit la même chose : "Ce n’est qu’avec l’empire des Omeyyades (661-750) que la religion de Mahomet a basculé dans un autre monde dans lequel l’écriture est devenue prédominante. Le Coran a alors été mis par écrit, certainement à partir de fragments d’oralité conservés dans les mémoires. Dans les siècles suivants, la tradition islamique a couvert d’un luxe de détails les origines de l’islam et reconstitué un passé … fictif !"

Que signifie ce leurre historique magistral ?

En premier lieu, que la fondation de l’islam a suivi les conquêtes bédouines et non l’inverse. Point d’élan religieux, juste une substitution militaire bédouine féroce et riche (Tiens ? Déjà ?) à la présence byzantine d’un côté (intello, divisée et fatiguée) et Perse (idem) de l’autre.

Il faut en effet se replacer dans le contexte des années 600-660, antérieures aux Omeyyades. Les guerres incessantes entre Byzance et la Perse ont épuisé les derniers belligérants que furent Heraclius 1er et Chosroès II. En revanche, elles ont enrichi leurs mercenaires bédouins venus du sud. Ce sont ces derniers qui firent parler d’eux dans les batailles rapportées par le Coran et la Sunna. Leurs propres conquêtes se produisirent essentiellement dans le croissant fertile et non à Médine ou la Mecque, islamisées bien plus tard.

Ce n’est donc pas l’élan de la foi qui permit la guerre mais l’inverse : c’est la guerre qui imposa de créer une foi, une foi appropriable par les conquérants des terres chrétiennes et juives à l’Ouest et indo-persanes à l’Est.

Tous ces historiens s’accordent à expliquer l’engendrement long et progressif de l’islam sur les braises de ces conquêtes et au fur et à mesure de leurs avancées. La composition du personnage de Mahomet, autant que la création par étapes de ce livre étrange et confus qu’est le coran, s’imposaient pour un pouvoir confronté à la légitimité des religions préalables, comme une nécessité politique et juridique, plus que spirituelle évidemment. D’où cette absence de revendication d’une quelconque originalité spirituelle par l’islam lui-même mais aussi cette frénésie maladive et morbide à honnir les modèles antérieurs si piètrement contrefaits.

Hitler en tentant de raviver les croyances païennes à sa sauce noire et sang et de spiritualiser ses guerres de conquête, ne s’y prît pas autrement.

En second lieu, ces travaux historiques sur l’inexistence de Mahomet sont largement occultés par les promoteurs volontaires ou involontaires du mythe musulman. L’auto-censure scientifique est ancienne et s’explique en particulier par les positions, au sein de l’administration coloniale, des premiers historiens de référence.

Aujourd’hui, en cette phase de Reconquista islamique, l’occultation est quasi-totale.

On prendra bien garde à qualifier un djihadiste d’islamiste « présumé », tandis que son modèle prophétique ne sera jamais discuté comme « mystification avérée ».

Par ignorance, puis par crainte, puis par « soumission », c’est-à-dire par « islam ».

Louis Bordenave

Article relatif: Quand comprendrons-nous enfin?

10 réponses à Mahomet avec un M comme Mystification…

  1. Marie dit :

    Texte extrêmement intéressant. Peut-on savoir qui est ce Louis Bordenave qui en est l’auteur?
    Par ailleurs, si l’article donne vraiment envie de lire les ouvrages en question et de creuser le sujet, comment concilier cette thèse avec celle de la fréquentation de sectes judéo-chrétiennes par Mohamet, fréquentation puis séparation qui auraient été à l’origine de sa « doctrine »?

    Merci d’avance à qui voudra bien éclairer ma lanterne.

  2. Louis dit :

    On va dire que Louis Bordenave est un chercheur en droit et civilisation islamiques, spécialiste du subcontinent indo-himalayen.

    S’agissant des fréquentations de Mahomet, je fais partie de ceux qui pensent qu’il n’a pu en avoir pour la bonne raison qu’il n’a pas existé en tant que personnage unique. Il est selon toute vraisemblance un assemblage de plusieurs biographies plus ou moins contemporaines les unes des autres.

    Quant aux présences chrétiennes et juives, sans oublier les indo-persanes, elles furent beaucoup plus que de simples fréquentations.

    Elle furent autant de sources de transmission religieuse, philosophique et scientifique aux arabes, au point qu’ils donnèrent un nom à cela: dakhîla (les sciences « intruses ») .

    Anne Marie Delcambre propose une jolie formule : « Le mythe de la civilisation arabe [ €¦], flamboie de ses composantes étrangères » ( « Schizophrénie de l’islam », p.78 et suiv.)

    En gros, les savoirs de l’islam sont soit non arabes et musulmans (donc le fait de convertis) soit arabes et non musulmans, et donc essentiellement le fait des chrétiens, le plus souvent nestoriens, mais aussi des indiens et des persans, comme indiqué plus haut. Pas étonnant que l’islam n’ait rien de religieux qui lui soit propre.

    ET tout cela s’avère en outre très tardif, ce n’est qu’au 9ème siècle qu’on atteste par exemple d’un travail d’adaptation du pehlvi à l’arabe, sous la direction du chiite Sahl ibn Harun (mort en 830) [Prémare, « les fondations l’islam », p. 209].

    Pour A.-M. Delcambre également, il faut attendre le calife à moitié persan al Ma’moun, réputé très cultivé, qui ordonna la traduction en arabe de livres scientifiques syriaques et grecs. Cela se passait aussi vers 830, autour de la fameuse « Maison de la sagesse » fondée à Gundishapur, ville savante depuis le 6ème siècle (au nord de la mythique Suse où on trouva le code d’Hammourabi), située dans l’actuelle province du Khuzestan, au sud-ouest de l’Iran.

    Mais il faut aussi savoir, ce qui en dit long sur l’islam, que al Ma’moun, qui soutenait le mouvement mutazalite (qui contestait le concept de livre incréé), était traité par ses pairs « d’émir des kuffars » (mécréants) et « prince des athées ».

    Bref, les compositions biographiques a posteriori, de Mahomet, recouvrent une réalité socioculturelle évidente pour les archéologues et historiens: l’emption des traditions existentes par l’islam sur le long terme et l’effacement des origines, dans ce qu’il dénomme aussi « la synthèse » et moi du révisionisme. Tout un programme pour nos contrées d’Europe notamment…

  3. bob dit :

    Effectivement, vous pourrez trouver la confirmation de cette these en lisant le livre d’andré Server (1923) sur le site http://islam.romandie.com

  4. SÉNAMAUD- Jean- Marie dit :

    PS= » NE PAS CONFONDRE AVEC MON FRÉRE Yves-Marie

    ON PEUT DIRE LA MÊME CHOSE DE JÉSUS & DE BOUDHÂ…..

    MAIS PARTANT DE VOTRE ANALYSE….
    MOHAMED N’ÉTAIT PAS UN ***CHEF de Guerre****!!!!!!

    [MODERE]
    Jean-Marie SENAMAUD

  5. Marie dit :

    Un grand merci, Louis (Bordenave, je suppose?) pour vos précisions.

    Peut-on savoir s’il y a des discussions entre les tenants des deux thèses, pour essayer de voir où achopperait la première et les éventuels points faibles de la seconde, et essayer d’affiner ainsi la compréhension de la naissance de la « religion » musulmane?

    Merci à vous aussi, Bob: je n’ai pas le temps de regarder sérieusement cela tout de suite, mais essayer de le faire au plus tôt.

  6. Louis dit :

    Il y a toujours eu un concensus, malsain à mon sens, visant à entériner le fait que, le modèle mahomet étant considéré comme vrai par les musulmans, il ne servait pas à grand chose de promouvoir la vérité scientifique de son inexistence. Les discussions parmi ceux qui connaissent parfaitement cette réalité, se limitent à des questions de dates, de validité de telle chaîne de transmission (isnad) plutôt que telle autre, etc.

    Avec la nahda, la renaissance islamique, les choses ont changé. Il me parait important de sortir cette énormité du chapeau.

    Les muslmans la nient évidemment, c’est un acte de foi, un des 5 piliers de l’islam. Son reniement est un acte d’apostasie passible de mort selon la shari’îa…

  7. Louis dit :

    @ Sénamaud

    « La vie de Jésus est attestée par des documents qui lui sont contemporains : l’historien Thallus (mort en 52), Flavius Josèphe,
    notamment dans les « Antiquités 18.3.3″, et à peine plus tard : l’archiviste Suétone (69 – 125), l’historien Cornélius Tacite (55 €“
    118) ou encore Pline le Jeune (61 – 114). On a aussi des documents anonymes comme le manuscrit Syriaque n ° 14658 du British Muséum (daté de 73 environ), qui tous (et bien d’autres) parlent de Jésus.

    Même quelqu’un comme André Gounelle, (Parler du Christ, Ed. van Dieren, 2003, p.113-114) qui n’est pas tendre avec l’historicité de Jésus, conclue : « On estime, en général, hautement probable que Jésus a bien existé ».

    S’agissant du Bouddha Gautama, idem son historicité a été attestée par les historiens et aussi archéologues, mêmes si certains indianistes s’accordent à rabaisser d’un siècle environ les dates transmises par la tradition (cf. Encyclopedia universalis et bien d’autres références).

    S’agissant de la qualité de chef de guerre de Mahomet, s’il na pas existé, il n’a pas existé : point final.

    Maintenant le modèle qu’il incarne et qui fut composé plus tard, est bien celui d’un chef de guerre psychosé. Le problème aujourd’hui c’est que son existence est constamment véhiculée comme certitude scientifique, ce qui ne fait qu’amplifier la foi en lui, en le modèle qu’il incarne. Il serait temps que les historiens dignes de ce nom s’affichent davantage, ce qui ne serait certainement pas sans influence sur la précarisation de cette foi justement. »

  8. La peur est en train de changer de camp

    La sacralité du Coran est le dernier tabou que l’on respectent encore dans les milieux de la politique et de la presse. Cédant au terrorisme intellectuel autant qu’au terrorisme assassin, les acteurs de la pensée critique refusent de voir dans le Coran la cause première de tous les maux dont les musulmans s’accablent eux-mêmes, tout en en accablant le monde entier. Un livre récent
    Le Coran contre la République, de Laurent Lagartempe, EDITIONS de PARIS
    fait résolument pièce à ce frileux respect d’un tabou devenu insoutenable et insupportable. Quatre cent versets du « livre sacré », regroupés en neuf thèmes, y sont explicitement cités avec en regard les articles du Code Pénal français qui les qualifient en tant que délits de « provocation à crimes et délits contre les personnes ». Le Coran, comme tout autre texte publié en France, est soumis aux restrictions à la liberté de pensée et d’expression, dont les délits tombent sous le coup de la loi du 29 juillet 1881 sur la presse. Cette loi, très augmentée depuis son origine, ne concerne pas que la presse stricto sensu, mais aussi les écrits ou imprimés de toutes natures : non seulement la reproduction de textes à l’aide de caractères typographiques, mais aussi toute reproduction, quel que soit le procédé technique utilisé, dès lors qu’elle permet la diffusion de la pensée.

    La simple lecture des versets cités dans le livre entraîne aussitôt pour celui qui les lit, l’évidence que toute autre publication contemporaine, contenant des provocations et injures analogues à celles qui y figurent, serait inévitablement l’objet de poursuites pour crimes et délits de presse. Le livre cite notamment in extenso :
    Provocations à la vengeance €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦15 versets de 8 sourates
    Provocations à l’esclavagisme €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦. 18 versets de 10 sourates
    Provocations à la discrimination religieuse et à la haine.. 93 versets de 27 sourates
    Provocations au racisme anti-juif €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦…50 versets de 9 sourates
    Provocations au meurtre et à la guerre €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ 103 versets de 16 sourates
    Provocations à la discrimination sexuelle €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦ €¦80 versets de 9 sourates

    Il y a évidemment prescription pour les auteurs du coran depuis longtemps disparus. Mais les délits inhérents à de tels textes ne se limitent nullement à ceux qui les écrivent. Aux termes du Code Pénal, sont passibles, comme auteurs principaux, des peines qui constituent la répression des crimes et délit commis par la voie de la presse, les directeurs de publication ou éditeurs quelles que soient leurs professions ou leurs dénominations, les imprimeurs, les vendeurs, les distributeurs, les afficheurs et naturellement ceux qui enseignent l’objet du délit.
    L’auteur fait remarquer que les provocations délictueuses du coran sont également justiciables de l’article 9, 2e alinéa de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme (CESDH), Cette convention a force de loi en France comme dans les 44 autres pays européens qui l’ont approuvée le 4 novembre 1950.

  9. yahat dit :

    786, est si aujourdhui existe deja est entrain de traduire le quran est que vous serez convaincu du contraire de vos arguments sans fondement nous somme dans l’age de la raison et du mathematique et le quran comme la bible est code mathematiquement comme nos os et comme notre planete qui tourne autour , le mot islam est ^la realite phisique et ce perfectionnement de la multiplication de toutes chose Dieu le tout puissant etabli sa religion donc il est le centre gallilo a parlé que DIEU LE BIENVEILLANT A NOTRE EGARD VA parlé a cette generation avec le mathematique le code ,le chiffre 19 l’alpha et l ‘omeca aujourdhui le quran n’a pas besoin d’un temoin directe il temoigne par lui meme et avec le cde mathematique le chiffre 19 nous pouvons comprendre le sens du mot dans le koran ou savoir si la parole de DIEU est juste ou pas et c’est valable pour la bible comme dans le tora l’auroppe comme d’autre pays soutiens l’ignorance du monde arabe comme le reste du monde musulmans ,comme si vous ne connessez pas la verité DIEU TEMOIGNE que les gens de l’ecriture precedente le tora et la bile que vous la connaissez comme vous connaissez vos prepre enfants alors pourquoi raconté des monsonge sur l’histoire de l’humanite et sur le fondateur de l’islam , abraham a bravé le poids des coutumes et des croyances qui tiraent leur ligitimites de tradition ancestrales j’usqu’a emigré , l’islam ou la soumission a dieu seul etait encourage dans le temps d’abraham donc nous devons suivre les precepte monotheistes telles est l’istin naturel instauré dans le coeur de l’homme sans qu’il y ait de commutation possible a la creation de dieu ,nous efectivement dans l ‘age de la raison le sura al hadid veut dire l’age de la raison . il est temps justement de raconté les evenement avec plus de clairte il est temps d informé la vrai parole du faut nous somme dans la fase final de notre vie et ne dite le jour de la ressurection que nous etions inconciens our cette engagement sr7;172 je vous annonce que il y’a des croyant soumits a DIEU seule avec un esprit batisseur la vrai traduction du quran et le sens initiale du mot avec la science de dieu avec le miracle mathematique tu peux decouvrir la vrai parole de DEIU le bienveillant II n’ay point d’autre dieu ci se n’est lui ,comme fut abraham ,moise ,jesus ,marie muhammad et les patriarches et les croyants de toutes les races de la terre depuit notre premiere ,il vaut rompre l ‘endoctrinement et revenir a dieu et a l’origine du debut pour parler avec la science comme tel abraham , II m’est deja venu de la science ce qui ne t’es pas parvenue ,,le site http://www.submission.org vous invite a faire la connaissance avec le vrai islam ,( soumission ) et avec la volonté de diieu le tout puissant le nouveau site .www.greatprophecy.org vous informe de la verite mathematiquement pour cette genaration prospere aslamm hayat

Répondre à Marie Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *