Si l’avortement devait devenir légal au Portugal après le référendum du 11 février, les hôpitaux des Miséricordes, établissements catholiques qui «doivent obéissance aux titulaire du diocèse où ils sont situés» refuseront d’en pratiquer.
Si l’avortement devait devenir légal au Portugal après le référendum du 11 février, les hôpitaux des Miséricordes, établissements catholiques qui «doivent obéissance aux titulaire du diocèse où ils sont situés» refuseront d’en pratiquer.