Des mineurs à la Gay Pride d’Amsterdam

360.ch: Face au projet d’un ado de 14 ans, le maire d’Amsterdam a exprimé certaines craintes, avant d’accepter finalement la participation de mineurs de moins de 16 ans à la traditionnelle manifestation homosexuelle.

Le bourgmestre d’Amsterdam Job Cohen a accepté que des jeunes âgés de moins de 16 ans participent à la Gay Pride flottante organisée traditionnellement sur les canaux de la capitale néerlandaise. Une polémique était née du projet d’un garçon de 14 ans, Danny Hoekzema (photo), qui souhaitait participer à la parade avec un bateau destiné aux adolescents LGBT (lesbiennes gay bi trans) de moins de 16 ans.

Favorable au mouvement homosexuel, Cohen s’était toutefois montré publiquement inquiet de la «vulnérabilité» de ces jeunes.

Une réunion entre les autorités municipales et l’organisation homosexuelle nationale COC, qui soutenait l’initiative du jeune Danny, a été nécessaire pour clarifier la situation. Au terme de celle-ci il a été convenu que les parents des jeunes seraient présents sur le bateau.

«C’est un signal important,» a commenté le président du COC, «car de nombreux jeunes homosexuels se sentent seuls parce qu’ils n’ont pas encore le courage de partager leur identité avec les parents.»

Les organisateurs de la Gay Pride ont également assuré le maire que l’embarcation défilerait à distance des bateaux marqués par des thèmes sexuels. Environ 25 jeunes âgés de 11 à 16 ans auraient déjà exprimé le désir de défiler à bord du bateau de Danny.

Organisée chaque année en août, la Gay Pride d’Amsterdam attire plus de 300’000 participants.

– Très difficile de réprimer les tendances pédérastes (du grec paiderastês, paidos « enfant, garçon », erastês « amoureux ») qui motive le lobby de l’homosexualité en mal de chair fraîche depuis ses origines. Surprenant ce besoin de marquer une « distance »… On imagine d’ici les cris d’orfraie si les associations de défense de l’enfance demandaient que ces beaux messieurs veuillent bien se tenir à « distance ».

Ils sont de retour et ils se sont trouvés une couverture imparablement géniale. On ne pourra bientôt plus, par crainte d’une condamnation à la prison ferme pour « homophobie », dénoncer le moindre comportement à tendance pédophile. Les parents seront dénoncés pour avoir voulu, ainsi qu’écrivait Matzneff en 1974: « priver leurs enfants de la joie d’être initiés au plaisir, seule éducation sexuelle qui ne soit pas un mensonge et une foutaise« , et ces messieurs auront tout le loisir de faire leur affaire bien tranquillement pendant que les gendarmes tiendront le gamin ?

En attendant, on préfère passer par un semblant de consentement, d’où les campagnes prosélytes dans les écoles publiques, avec des fonds publiques, invitant les petits mineurs mâles à des relations homosexuelles sans protection; ça ressemble à de la haine, mais on doit appeler ça de l’amour, c’est la loi !