Avortement: Encore un salaud de survivant

Un enfant « né » à 21 semaines, à la suite d’un avortement pour un soupçon de malformation de l’estomac (lequel, finalement, fonctionne à merveille…). Le petit têtu, en parfaite santé, n’a pas voulu mourir après l’avortement… ce qui, en vertu des dispositions de la loi, a obligé le médecin à l’envoyer en réanimation… L’enfant a survécu (Dieu seul sait quelles seront les conséquences de ce « traitement ».

Bon, on récapitule, légalement il n’est pas vivant, mais, toujours légalement, on a plus le droit de le finir de le tuer une fois qu’il n’est « pas vivant » en dehors du sein maternel… Question, peut-on poser plainte contre le foetus pour entrave à la justice (soit l’application arbitraire légale de la peine de mort pour motif de confort d’autrui) ? Réponse, non, car au moment où les faits ont été commis, le fauteur n’existait pas… les assurances devront trouver un autre coupable. (dès 07:08)

Le sujet suivant sur la vidéo est intéressant, complication lors d’une rhinoplastie, un jeune est déclaré un brin trop tôt en « état de mort cérébral » pour être plus rapidement dépouillé de ces beaux organes frais.

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