BE – Drogues: Le coût de la politique gausciste d’élimination des faibles

Le parlementaire UDC de Gstaad, Erich von Siebenthal, a interpellé la république de Berne à propos des programmes de distribution de drogues (à quand la vinasse à l’oeil pour les alcoolos ou des wagons de minettes pour les obsédés ? Soyons logiques).

La réponse du gouvernement vaut son pesant de colombienne pure non coupée:

« A la fin de l’année 2005, le canton de Berne enregistrait au total 2582 participants au programme de distribution d’héroïne et de méthadone. Parmi eux, 576 travaillaient à plein temps, 267 à temps partiel et 168 temporairement. Enfin, 91 personnes impliquées effectuaient des tâches ménagères à domicile. En 2005 toujours, une journée de traitement avec prescription d’héroïne dans un centre suisse coûtait en moyenne entre 50 et 70 fr. (selon la taille et le tarif du centre, contre 56 fr. dans le canton de Berne)« . ->

On part du principe que ceux qui ne bossent pas ou partiellement sont au bénéfice d’une rente AI, avec studio offert par l’assurance sociale, aide à domicile, médocs et frais de vétérinaire pour le clébard, compagnie indispensable au bon équilibre du sujet. Bref, tout compris, sans parler de l’argent de poche, du pourboire, de l’assistance alimentaire et du droit au remboursement de l’assurance de base.

Ceci mis à part, comptons une moyenne de 60 francs le programme d’héroïne par jour et par personne, frais des locaux et salaires du personnel non compris, soit 56’545’800 francs… ou 21’900 fr. par personne pour un an, rien que pour la dope… A titre de comparaison, cette dernière somme représente le budget moyen d’un étudiant suisse pour plus de… 27 mois. Vous vous demandiez où passait l’argent des crèches, des familles ,de la sécurité, maintenant vous savez: on l’injecte allègrement dans les veines de pauvres gars que l’Etat regarde se consumer à petit feu pour le seul plaisir de donner raison à une idéologie qui en veut à l’homme depuis longtemps. Merci qui ? Merci le gauscisme.

Plutôt que de payer pour regarder crever ces types cet argent pourrait être employé pour 1. de vrais programmes de sevrage et de réinsertion rapide, tout homme est nécessaire à sa société 2. une répression sauvage des dealers.

Nos amis du PS qui, rappellons-le, ont demandé il y a peu la libéralisation de toutes les drogues, surtout les dures, ne veulent pas ça. Et pour cause, une population complètement défoncée est beaucoup plus facile à diriger qu’un peuple qui a encore tout l’usage et le loisir de sa raison.

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