L’inde, une autre victime de l’islam – par Serge Trifkovic

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Serge Trifkovic (cf vidéo) a obtenu son Doctorat de Philosophie en Angleterre, et a poursuivi ses recherches à l’Institut Hoover de Stanford. Ses antécédents journalistiques comprennent : BBC World Service, Voice of America, CNN International, The Washington Times, The Times of London… Il est rédacteur en chef du service étranger et chroniqueur à « A Magazine of American Culture ». Extraits de l’article « Islam’s Other Victims : India » :

Avant les invasions musulmanes, l’Inde jouissait d’une des civilisations les plus élaborées dans le monde. L’Hindustan du 10ème siècle égalait ses contemporains de l’Est et de l’Ouest dans les domaines de la philosophie, des mathématiques et des sciences naturelles. Les mathématiciens indiens avaient découvert le zéro, sans oublier l’algèbre et d’autres théories, qui furent transmises plus tard au monde musulman, auquel on en attribua faussement le mérite.
L’Inde médiévale, avant l’invasion musulmane, était une culture richement imaginative, une des cinq ou six civilisations les plus avancées de tous les temps. Ses sculptures étaient vigoureuses et sensuelles, son architecture richement ornée et envoûtante.
Et tout ceci était une réalisation purement autochtone et non, comme c’est le cas de nombre des plus fameux hauts-lieux de la culture musulmane, des reliquats de civilisations pré-islamistes dont les musulmans s’étaient rendus maîtres.

Les envahisseurs musulmans commencèrent leurs incursions au début du 8ème siècle […] En 712, les auteurs des raids démolirent les temples, brisèrent les sculptures, pillèrent les palais, tuèrent un nombre incalculable d’hommes.
Les exploits de Kasim le précurseur se poursuivirent au début du 11ème siècle, quand Mahmoud de Ghazni « traversa l’Inde comme une tornade, détruisant, pillant et massacrant », appliquant avec zèle l’injonction coranique qui demande la mort des idolâtres qu’il avait juré de châtier chaque jour de sa vie.

Au cours des dix-sept vagues successives de cette invasion, du propre aveu de l’érudit que Mahmoud avait emmené en Inde, « Mahmoud ruina complètement la prospérité du pays, et accomplit de merveilleux exploits, dignes de figurer dans la mémoire du peuple, telle une ancienne légende, réduisant les hindous en atomes de poussière éparpillés dans toutes les directions. Les restes dispersés [de cette population] nourrirent de ce fait, une aversion invétérée à l’encontre des musulmans. »

Doit-on s’en étonner ? À ce jour, les citoyens de Bombay, New Delhi, Calcutta et Bangalore vivent dans la crainte du Pakistan, pays politiquement instable et détenteur de l’arme nucléaire, qui contrairement à l’Inde (mais comme tout pays musulman), n’a pas réussi à maintenir la démocratie depuis l’indépendance.

Dans son livre « Histoire de la Civilisation », le célèbre historien Will Durant s’affligeait des conséquences de ce qu’il nommait « probablement l’épisode le plus sanglant de l’Histoire ». Il considérait cette invasion comme « une histoire décourageante, puisque l’évidente morale qui s’en dégage nous assène que la civilisation est un bien précieux, dont la liberté et l’ordonnancement délicat et complexe peuvent à tout moment être balayés par des barbares déferlant de l’extérieur et se multipliant de l’intérieur ».

Les envahisseurs musulmans « détruisirent et brûlèrent tout ce qu’ils rencontrèrent de beau dans l’Hindustan », affichant le ressentiment de guerriers sous-développés, intimidés par la confrontation avec « une culture plus raffinée », comme le souligne un commentateur indien. « Les sultans musulmans construisirent des mosquées sur l’emplacement des temples détruits, et de nombreux hindous furent vendus comme esclaves. Ils étaient des kafirs, des païens par excellence. Ils furent les victimes toutes désignées de l’injonction de Mahomet contre les païens : « Tuez ceux qui rejoignent d’autres dieux que Dieu, où que vous puissiez les découvrir. »

Ces massacres perpétrés par les musulmans en Inde n’ont pas de parallèle dans l’histoire. En valeur absolue, ils sont plus importants que l’holocauste des juifs, la Terreur soviétique, les massacres japonais sur les Chinois pendant la seconde guerre mondiale, les dévastations de Mao contre la paysannerie chinoise, le génocide des Arméniens par les Turcs, ou que tout autre de ces fameux crimes contre l’humanité du 20ème siècle. Hélas, ils restent pratiquement ignorés à l’extérieur de l’Inde.

Plusieurs raisons expliquent ce fait. À l’époque où ils dirigeaient l’Inde, les Britanniques, fidèles à leur politique du « diviser pour régner », blanchirent les archives musulmanes pour que les membres de cette communauté puissent contrebalancer politiquement le poids de leurs administrés hindous plus nombreux.

Dans la période de la lutte pour l’indépendance, Gandhi et Nehru minimisèrent l’étendue historique des atrocités afin de présenter la façade d’une unité hindou-musulmane contre les Britanniques (cette façade s’évanouit immédiatement après l’indépendance, et plusieurs millions de personnes furent tuées dans les violences religieuses qui accompagnèrent la partition de l’Inde britannique et la création du Pakistan.)

Après l’indépendance, les écrivains indiens marxistes, aveuglés par leur idéologie, supprimèrent la vérité des registres musulmans, parce qu’elle ne correspondait pas à la théorie marxiste de l’histoire.

Aujourd’hui, l’équivalent indien de la mode du « politiquement correct » passe sous silence les crimes des musulmans qui sont devenus une « minorité opprimée » dans une Inde majoritairement hindoue. Enfin, les intellectuels de gauche du pays ne cessent de blâmer l’Inde et haïssent leur propre civilisation hindoue, de la même manière que leurs congénères de Berkeley condamnent sans relâche les États-Unis et l’Occident.

À la différence de l’Allemagne qui a présenté des excuses à ses victimes juives et de l’Europe de l’Est, contrairement au Japon qui a au moins su se tenir depuis la seconde guerre mondiale, et même comparé aux États-Unis qui sont allés jusqu’au paroxysme de la culpabilisation pour les actes commis à l’encontre d’un nombre bien plus réduit d’Amérindiens, les agresseurs musulmans de l’Inde et leurs successeurs n’ont même jamais cessé leurs tentatives pour finir le travail qu’ils avaient commencé.

À ce jour, les militants islamistes considèrent encore l’Inde comme « une affaire non réglée », et le problème est inscrit tout en haut de l’agenda de certains pays musulmans enrichis par leur pétrole, comme l’Arabie Saoudite, qui dépensent des millions chaque année pour tenter de convertir les hindous à l’Islam.[lire l’article complet] – PM

La vidéo est extraite du film « Islam : What the West needs to know »

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