NON à une révision contraire au pluralisme politique!

Reléguée au second plan par les élections fédérales (c’est bien commode pour les majoritaires!), la votation cantonale du 21 octobre n’est pas dénuée d’enjeu : au-delà des avatars de l’introduction du vote par correspondance généralisé, il s’agit en effet de décider du mode de scrutin des élections au conseil communal et, plus précisément, de la place plus ou moins grande qui sera donnée au pluralisme politique plutôt qu’à l’hégémonie d’un parti. ->