C’est le Baf ! ->
A mourir de rire, le site des culturistes de mort de Pro-Choix brandit d’une main tremblante le spectre d’une « parole plus libre », trop libre, celle du Baf.
C’est curieux ce besoin des groupuscules gauscistes d’identifier les mouvements de droite aux accidents de leur propre nébuleuse, soit tout un réseau d’obscures sectes occultes tapies dans l’ombre, prêtes à bondir. Comme d’habitude, et c’est là une constante fidèle, nos adversaires nous reprochent toujours nos idées, jamais nos arguments.
Petite question de détail, l’oeuvre « Ruan » de l’artiste chinois Xiao Yu ne « représentait » pas une mouette avec une tête de foetus mais ETAIT une mouette sur laquelle on avait greffé la tête d’une petite fille chinoise prématurée. Sans doute une victime de l’avortement forcé subventionné par l’UNFPA et promu par les pro-avortement du Planning familial international, fondé par la très raciste, nazie et Klu Klux Kanesque Margaret Sanger, des amitiés autrement plus honteuses que celle de Francis Richard, Michel de Poncins ou Alain Jean-Mairet, dont nous ne nous féliciterons jamais assez. Nos petits amis pro-mort me paraissent mal, mais alors très mal placés pour jouer aux flics de la pensée et nous faire la morale.
Curieux aussi de voir comment les cerbères de Pro-Choix (qui nous voient encore dans l’UDC Fribourg… vieux de 2 ans), dans leur puissante documentation sur la prétendue homophobie du Baf se concentrent sur la lapidarité des conclusions, lesquelles, semble-t-il, les gênent sans qu’on nous explique pourquoi, omettant soigneusement ne serait-ce que de mentionner les développements qui peuvent y conduire. Personnellement, et bien qu’amateur des raccourcis de la pensée de gausce (un vice mal réprimé dans une enfance négligée), l’argument d’autorité ne me suffit pas et la simple litanie de séquences contraires à la pensée unique ne me convainc pas de la culpabilité de l’auteur… cette sale habitude de réfléchir par soi-même sans doute !
Evidemment, dans le même ordre d’idée, au seul énoncé de notre motivation de vouloir nous engager pour la défense de la vie et de la famille, c’est limite si on ne se roule pas par terre en criant « Légion, Légion » dans les bureaux de la rédaction de la revue pro-avortement.
Quand à nous reprocher notre position sur l’islam, c’est l’avortoir l’hôpital qui se fout de la charité, le pire que nous ayons jamais publié sur le sujet est toujours sorti de la bouche de Caroline Fourest.
Une seule chose nous réjouit dans cette affaire: Notre liberté de parole est une menace pour les ennemis de la liberté.
Bafoluciòn !