Pour quelle raison Stéphane Riand s’acharne-t-il contre la famille Riedmatten ?

L’on supporte un temps la suffisance de certains de façon amusée jusqu’au jour où il convient de mettre les points sur les i. Le complexe d’infériorité a ses limites, en voici une.

Non content de me faire passer – toujours par anonyme interposé – pour le futur premier ministre de la prochaine théocratie intégriste valaisanne, l’avocat socialiste, fatigué sans doute de révéler le sombre complot de l’OPA Riedmatten sur la presse locale et le pays tout entier, vient aujourd’hui grossir les rangs des oligophrènes (dit affectueusement*) incapables de digérer l’ironie quand elle n’est pas marquée de l’imprimatur du parti. Ils ont des yeux et ne veulent pas voir…

Le préambuleriand, qui excipe d’une très improbable « protection » de mon oncle sur ma modeste personne, ne suffit à démontrer qu’une seule chose: Me Riand ne sait pas de quoi il parle, mais alors pas du tout. L’homme est de ceux que le succès d’aucuns vexe par nature – chaque réussite est une accusation à l’encontre de cette reconnaissance qui n’est jamais venue -, et c’est pourquoi il divertit ses frustrations en racontant n’importe quoi; ça le soulage. Ce qui explique d’ailleurs, les bordées d’insultes quotidiennes envoyées au site lesobservateurs.ch, en ses débuts, reprochant une couverture médiatique qui l’avait toujours soigneusement épargné.

Voyez le début: « Adrien de Riedmatten, fils de banquier« , pour qualifier feu mon père. Passons outre la rhétorique amusante voulant qu’un avocat de gauche, gagnant probablement 6 fois mon salaire annuel en un mois, essaie de me ranger du côté des « salauds de riches« , pour arriver à l’essentiel, mon père. Lors des derniers mois de sa vie, celui-ci s’ouvrait plus volontiers sur les épisodes les plus coquasses de son existence. Le sort tomba, fatalement, sur le sieur Riand.

Le ci-devant se pointa un beau matin dans le bureau de l’UBS de l’avenue de la Gare pour présenter, une fois encore, l’une ses visées fantasques. Se croyant providentiel, comme à chaque fois, il pensait être accueilli à bras ouverts. Le rappel à la réalité fut brutal, dans le vrai monde, les Riand de partout finissent sur un blog brouillon, comme autrefois le pilier de taverne sur son bar, à insulter des amis imaginaires. L’animal protesta, s’enfla, se travailla et il fallut le bras énergique de la délicieuse Mme B., fidèle secrétaire de direction de 50 ans bien sonnés, pour reconduire l’impétrant aux ténèbres qui l’ont engendré. Depuis, Stéphane Riand distille sa rancœur, goutte à goutte, décennie après décennie, contre ceux-là aussi qui n’ont pas voulu de lui. Ceux-là, leurs amis, leur famille, leurs descendants si nécessaire, aucune vindicte n’est superflue pour habiller la solitude des faibles.

Un point positif cependant, je devrai peut-être à la sottise de mes contempteurs et à toute cette ridicule histoire de passer outre le handicap de voix que me valait l’appartenance à la plus petite commune du Valais. Je n’avais aucune chance, en voilà une. Ils se feront toujours avoir.

Adrien de Riedmatten

 

* [NB: Attention, camarade socialiste, attention, il est possible que ce message contienne des traces d’humour. Si tu ne comprends pas, appelle un superviseur ou un journaliste dans les plus brefs délais].

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