Balle dans la nuque: Il reste jusqu’à ce soir à Stéphane Rossini pour déposer sa plainte

Stéphane Rossini outragé ! Stéphane Rossini brisé ! Stéphane Rossini martyrisé ! Mais Stéphane Rossini, de tout évidence, peu pressé de déposer sa plainte pour l’odieuse menace de mort proférée par l’immonde candidat UDC au Grand Conseil, Adrien de Riedmatten.

Chronique désespérante de l’instrumentalisation quotidienne du mensonge par le parti socialiste, avec la complicité des principaux médias romands et du Tribunal valaisan.

Souvenez-vous, Mme Barbara Lanthemann, présidente du PSVR, et le candidat échoué de son parti, Stéphane Rossini, faisaient mine de déceler un grave danger pour leur précieuse existence dans un trait d’esprit, répondant à leur sectarisme, et qui, de tout évidence, avait atteint son but.
L’intention de ‘siffler’ Le Nouvelliste se manifesta sur Facebook, le jour même, à 20h35. Gilles Berreau, le ‘journaliste’, appela à 20h54… C’est tellement beau la discipline !

Reste que le ci-devant Rossini déçoit un peu aujourd’hui, qui prive ses troupes de la preuve par condamnation, à la façon d’un Blancho qui blanchit le terrorisme islamique en traînant devant une justice fébrile celui qui ose pointer la tartufferie tétanique qui frappe son époque.

 

Des promesses, toujours des promesses

Stéphane Rossini, qui avait usé et abusé de cette ‘preuve par la haine’ – la presse reprenant docilement cette argumentation de la valeur du plus insignifiant des personnages par l’opposition qu’il suscite -, avait au moins promis de vouer son assassin aux gémonies de la puissance pénale. Seul face à la tempête, debout pour son idée, figure héroïque pour papier recyclé, il faut dire que le pauvre garçon n’avait, semble-t-il, que ce seul argument en sa faveur, qu’il resservait sans cesse (ici, ici).

Prévenu le vendredi 24 février au soir, il promettait une plainte dès  le lundi 27, puis, devant la force des évidences, délayait, prétextant même, le 10 mars, avoir « autre chose à faire qu’à déposer une plainte« , alors qu’il sous-entendait avoir saisi une étude le 1er mars… Il semblerait que M. Rossini n’ait pas su profiter à bien de tout le temps libre pourtant concédé si gracieusement par le peuple valaisan. Il voulait un mandat, en voilà un.

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Conclusion

Où en sommes-nous aujourd’hui ? Aux dernières nouvelles et même s’il n’en donne plus, Stéphane Rossini va bien, l’absence d’activité cérébrale, dans ce cas précis, ne faisant pas preuve de mort et la seule blessure ayant été, à très juste titre, infligée par le suffrage populaire. Quant à la balle, qui n’a jamais été ni tirée ni promise, il y a fort à parier qu’elle n’aurait pas trouvé assez de substance pour provoquer quoi que ce soit. Quoi que ce soit outre les délires paranoïaques de cette petite formation politique hostile à l’intelligence et qui n’a, de ce fait, que le recours au mensonge comme ultime raison.

M. Rossini et ses amis des médias, qui voulaient faire de cette plainte, tant de fois brandie, la preuve définitive d’une infraction inexistante, et de cette haine fantasmée le fondement de leur bon droit, doivent avant tout comprendre que cette absence béante ne fera que la démonstration de leur manipulation. Il n’y avait rien sinon le mensonge, il suffisait de le faire tenir deux semaines, Le Nouvelliste aura au moins servi à ça.

PS-médias, association de malfaiteurs ?

Noël Macé

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