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21.06 Nicolas Sarkozy
dénonce les "comportements inacceptables" d’Act Up
à Notre-Dame
Nicolas Sarkozy a
dénoncé samedi les "comportements inacceptables" des
militants d’Act Up, qui avaient commencé par simuler un
mariage homosexuel à Notre-Dame de Paris et fini par tabasser le
recteur sur le parvis de la cathédrale, le 5 juin dernier.
"J’accepte
toutes les différences, à condition que ces
différences ne soient pas intolérantes. De ce point de
vue, je n’ai pas accepté ce qui s’est passé
à Notre-Dame de Paris", a affirmé le président de
l’UMP devant environ 1.800 nouveaux adhérents de son parti
réunis dans un grand hôtel parisien.
"J’ai
suffisamment fait pour (les autres) religions (de France) pour ne pas
accepter que la religion majoritaire dans notre pays, la religion
catholique, soit bafouée par des comportements inacceptables et
inacceptés", a-t-il ajouté.
Selon lui, "ce
qu’on a fait à un prêtre et à une
église, jamais on ne se serait permis de le faire dans un autre
lieu de culte"; pas faux!
Une tribune est
parue, samedi 18 juin, dans "Valeurs actuelles", où 14
députés UMP reprochent à Act Up-Paris "des
pratiques qui relèvent de l’intimidation". "On mesure la
dérive de cette association au choix qu’elle a fait de ce
lieu sacré chargé de symboles et d’histoire pour se
livrer à une provocation violente mais dérisoire dans le
but d’élever un comportement intime en revendication
sociale", déclarent les signataires parmi lesquels on retrouve
le président du groupe UMP au Conseil de Paris Claude Goasguen,
Bernard Depierre (Côte d’Or), Dominique Richard
(Maine-et-Loire) ou Christian Vanneste (Nord).
AFP
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21.06 Israël: Le
patriarche de Jérusalem rétrogradé au rang de
moine pour avoir fait des affaires avec les Juifs
Le patriarche orthodoxe grec de
Jérusalem Irénée Ier a été
rétrogradé au rang de simple moine par le tribunal
épiscopal de cette Eglise qui l’a sanctionné pour
avoir vendu à des groupes juifs des biens immobiliers
détenus par le patriarcat dans Jérusalem-Est, a
annoncé jeudi le patriarcat.
Les 12 membres du tribunal
épiscopal de l’Eglise orthodoxe grecque ont
décidé cette sanction en l’absence de
l’intéressé qui avait refusé
d’assister à l’audience, a précisé le
patriarcat dans un communiqué.
Dans son communiqué, le
patriarcat ne mentionne pas la vente controversée de terres dans
la Ville sainte, mais explique que cette sanction était une
"mesure canonique nécessaire" pour éviter un schisme dans
l’Eglise orthodoxe grecque. Il accuse Irénée Ier
d’"actions anti-canoniques et anti-ecclésiastique".
Le 24 mai dernier, les chefs de
l’Eglise orthodoxe grecque dans le monde, réunis en synode
à Istanbul, avaient révoqué Irénée
Ier pour son implication présumée dans la vente de biens
immobiliers du patriarcat à des groupes juifs désireux de
renforcer leur présence dans cette partie disputée de
Jérusalem.
Le synode pan-orthodoxe avait ensuite
désigné à l’unanimité
l’évêque Cornélius, chef du tribunal
épiscopal, pour assurer l’intérim.
Mais, légalement, seuls les
gouvernements des pays où vivent les fidèles de cette
Eglise, en l’occurrence Israël, la Jordanie et
l’Autorité palestinienne, peuvent destituer le patriarche
en refusant de le reconnaître. Seule la Jordanie l’a fait
pour l’instant.
Irénée Ier refuse de
démissionner. Il clame son innocence et impute la
responsabilité de la transaction immobilière
contestée à l’un de ses anciens collaborateurs
financiers, Niko Papadimas, aujourd’hui en fuite.
Depuis trois mois,
Irénée Ier est marginalisé au sein de son Eglise
à la suite de cette transaction qui a provoqué la
colère des Palestiniens. Ces derniers, qui sont majoritaires au
sein de la Congrégation orthodoxe grecque en Terre sainte,
revendique Jérusalem-Est pour capitale d’un futur Etat
palestinien.
catholique.org |
21.06 Roumanie: Les Grecs catholiques
privés d'église
Malgré la
création en 1999 d’une commission mixte de dialogue,
l’Église orthodoxe refuse toujours de restituer les lieux
de culte confisqués aux catholiques de rite oriental de
Transylvanie. L’Église orthodoxe n’est pas seule en
cause. Bien souvent, c’est le gouvernement ou la ville qui
profitent des bâtiments ayant appartenu jusqu’en 1948
à l’Église gréco-catholique. Au total, sur
les 2 030 lieux de culte qu’elle comptait en 1948,
l’Église gréco-catholique n’a pu en
récupérer que 176, dont une cinquantaine dans la
région du Banat : le métropolite Nicolae de Timisoara,
considéré par tous comme un «saint homme»,
est le seul évêque orthodoxe à les avoir
restitués.
Fondation Guilé |
 17.06 Nigeria :
Persécutions des musulmans du nord contre les chrétiens
--> Le sort réservé
aux chrétiens des états de la "ligne verte" (zone
islamique) d'Afrique
Le 9 juin, les responsables de
l'Association des chrétiens au Nigeria ont
présenté un rapport au Congrès national de
réforme politique, énumérant les cas de
persécution et de discrimination contre des chrétiens.
Ces responsables accusent les gouvernements des états du Nord
d'être des institutions islamiques dont l'intention est de
promouvoir l'islam avec des fonds publics, alors que la Constitution
nigériane professe un statut laïque pour la nation.
Le rapport dénonce la discrimination religieuse impliquant des
confiscations d'écoles missionnaires, l'engagement d'enseignants
islamiques, et le refus d'accorder des terrains pour bâtir des
églises.
Douze états du Nord ont instauré la loi islamique, la charia. Les conflits religieux ont
causé des dizaines de milliers de morts ces 5 dernières
années, principalement dans le nord du pays.
Ce congrès, qui aura duré 4 mois et rassemblé 400
délégués, se terminera le 21 juin et
présentera au Président Olusegun Obasanjo une
révision de la Constitution.
Portes ouvertes |
16.06 Allemagne,
antichristianisme politique: Crucifix par "interim"
Par un jugement qualifié
d’"incontestable" par la Frankfurter Allgemeine Zeitung, le
Tribunal administratif d'Hessen, à Kassel, a
décidé que le président du "Landkreis" Offenbach,
Walter Faust (CDU), devait ôter le Crucifix de la salle de
réunion chaque fois que la représentante des Verts,
Ursula Chmelik, participera aux séances. D’après la
Cour, pour les personnes non chrétiennes ou athées le
Crucifix est le symbole de l'expansion missionnaire du christianisme.
Faust avait placé ce crucifix de 40 cm à la paroi du fond
de la salle à la suite d'une célébration
oecuménique successsive à l'ouverture des nouveaux
locaux. Chmelik a justifié sa plainte en déclarant
qu'elle n'avait rien contre la croix, mais que, toutefois, le symbole
chrétien l'entravait dans le bon exercice de son mandat de
membre du Landkreis.
Rappelons, pour mémoire, que le nazisme a été
l'initiateur de ce mouvement anti-crucifix en Allemagne, les croix
étant toutes remplacées par des portraits du Führer
dans les écoles et les bâtiments officiels (sauf, pour une
bonne part, en Bavière).
Fondation Guilé (all.) |
15.06 Inde: Couvents
attaqués, soeurs blessées, menacées,
séquestrées, chapelles saccagées
Le couvent des soeurs
franciscaines de N-D des Grâces, à Bhiwadi, dans le
Rajasthan, a été attaqué: Trois hommes
armés se sont introduits dans le couvent et ont
séquestré les religieuses qui s'y trouvaient. Ce nouvel
épisode vient s'ajouter à deux autres attaques de
couvents le 9 juin dernier.
Soeur Deepti, mère
supérieure du couvent de N-D des Grâces, a raconté
à l'agence AsiaNews le déroulement des incidents: "La nuit du 11 juin, aux environs d'une
heure du matin, je dormais quand j'ai entendu en grand bruit. Je me
suis levée et suis allée frapper à la porte de ma
voisine pour aller réveiller les autres soeurs. J'ai
essayé d'allumer la lumière mais
l'électricité était coupée. J'ai compris
que quelque chose n'allait pas et j'ai pris le téléphone,
qui ne fonctionnait pas non plus". Les soeurs
découvriront le lendemain que les fils du
téléphone avaient été tranchés par
les assaillants.
"Les
soeurs et moi nous sommes rendues à la porte principale,
continue la mère supérieure, parce que nous pensions que,
pour faire un boucan pareil, quelqu'un devait avoir besoin d'aide".
Dans l'obscurité totale, les soeurs ne voient personne, mais,
après quelques minutes, trois hommes, le visage couvert,
s'avancent armés de couteaux. "Ils
ont commencé à me frapper à l'épaule et
à la jambe, j'ai hurlé de douleur et de peur, mais
personne ne m'a entendue, nos voisins sont tous loin pour les vacances".
Les 3 agresseurs, criant et agitant leurs armes
pour les épouvanter, exigent des soeurs
qu'elles leur remettent immédiatement 100'000 roupies (~1.900
€): "Vous êtes des soeurs,
vous êtes riches et pleines de dons". "Je suis allée au coffre-fort,
continue soeur Deepti, et leur ai donné 7'000 roupies, tout ce
qu'il y avait, ce qui les a mis dans une rage folle. Ils ont
menacé de faire un sort à la jeune fille qui nous aide en
cuisine puis de la vendre si nous continuions à leur mentir sur
l'argent... Ce cauchemar a duré 3 heures. Après cela, ils
nous ont ligotées et baillonnées pour nous empêcher
d'appeler à l'aide. Ils se sont mis à manger et à
boire, mais, vers les 4 heures du matin, s'en sont finalement
allés".
Le matin du 12, le curé de
la paroisse locale, étonné de l'absence des soeurs
à la messe, envoie son sacristain au couvent pour prendre des
nouvelles. L'homme trouve le portail fermé, passe par-dessus et
rentre par une fenêtre, trouve les soeurs toujours
ligotées et les libère. Averti, le curé accourt
accompagné de la police qui recueille les plaintes des
religieuses.
Soeur Deepti se dit très
inquiète: "Ce n'est pas la
première fois que nous sommes attaquées,
déjà, le 5 juin, notre chapelle a été
saccagée et notre tabernacle volé. Il s'agit d'un
sacrilège et non d'un simple vol. Mgr. Ignatius Mendez,
évêque d' Ajmer-Jaipur, a promis de faire sa propre
enquête, car la police, pourtant informée de toute
l'affaire, n'a pas effectué une seule arrestation. Nous avons
besoin de protection parce que ce dernier incident, en plus
d'être une agression contre les chrétiens, est un acte de
violence contre les femmes".
Les attaques du 9 juin ont eu lieu
contre le couvent des soeurs de la Charité de Nazareth à
Sokho, dans le diocèse de Bhagalpur et dans le couvent de
Notre-Dame, dans le diocèse de Bettiah, où les
religieuses ont été agressées par une bande de 15
hommes. Une soeur a été grièvement blessée.
John Dayal, président de
l’All India Christian Union, a déclaré a
AsiaNews: "Nous faisons la
distinction entre crimes communs et crimes commis contre les religieux.
En Inde, les lieux religieux sont tabous et personne n'oserait imaginer
faire du mal aux personnes qui y vivent ou y travaillent. Personne ne
touche aux mosquées ou aux temples, mais les couvents et les
églises sont de plus en plus souvent la cible d'actes
malveillants. Nous sommes très préoccupés, le
gouvernement central doit faire quelque chose, avertir les
gouvernements locaux de la nécessité de veiller à
notre protection. L'Inde doit donner un signal clair et positif aux
minorités religieuses".
AsiaNews |
13.06 France, Act Up Paris: Les Cathos de
rebiffent
Outrés par le comportement des
militants d'Act Up lors des incidents du 5 juin à N-D de Paris,
des Catholiques de France, chaque jour en nombre croissant, ont
décidé
de pallier leur manque de connaissance en matière de ceintures
d'explosifs par le biais d'une
pétition en ligne sur internet. Certes, le rapport
qualité-prix n'est pas tout à fait le même, mais
c'est moins salissant.
Une manifestation
de protestation aura lieu le 16 juin, sur le parvis du Trocadéro
à 19h00.
La
pétition
La manifestation |
10.06 Chine: Procession de la
Fête-Dieu dans les rues de Hong-Kong
De très nombreux
fidèles ont participé à la procession du
Saint-Sacrement le jour de la Fête-Dieu dans le diocèse de
Hongkong, sous la présidence de Mgr Joseph Zen qui a
porté l’ostensoir. A cette occasion,
l’évêque a souligné la signification
particulière de l’Eucharistie comme « signe
d’unité et de mission ».
La procession a été organisée par le comité
pour la célébration de l’Année de
l’Eucharistie.
Mgr Zen a souligné, dans son
homélie, que l’Eucharistie fait comprendre aux
chrétiens qu’ils forment tous une seule famille : «
Dans cette famille, dans la célébration de la Messe, nous
sommes tous égaux sans distinction de position sociale.
L’Eucharistie nous a fait nous unir, et cette unité est
une grâce mais aussi une mission ».
Zenit
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08.06 Chine: Mort de Mgr Jean Wang Xixian
Le mercredi 25 mai, Mgr Jean Wang
Xixian est décédé à l’âge de 79
ans, après deux ans de maladie, un cancer des os. Il
était Archevêque de Hohhot en Mongolie centrale. Né
le 21 mai 1926 dans une famille catholique, il a été
ordonné prêtre en 1953, puis a été
nommé professeur au séminaire diocésain
jusqu’en 1957, année où il fut arrêté.
Après 21 ans de prison et de travaux forcés, il est
revenu en 1980 pour travailler dans la paroisse de la cathédrale
et pour enseigner au séminaire. Il a été
consacré Evêque le 24 juin 1997.
Quand on lui a appris que le Pape Benoît XVI était au
courant de sa maladie, qu’il le bénissait et priait pour
lui, le Prélat a dit, « je n’en suis pas digne
».
L’Archidiocèse de Hohhot compte plus de 50.000
fidèles, 50 jeunes prêtres, une centaine de religieuses,
et 40 séminaristes, et l’on enregistre une augmentation du
nombre des vocations religieuses, masculines et féminines. Les
funérailles de Mgr Wang ont été
célébrées le 31 mai dernier dans la
cathédrale du Sacré-Cœur à Hohhot.
Fides |
 07.06
Russie-Vatican: De la politique mais pas de prosélytisme
Le ministre russe des Affaires
étrangères, Serguei Lavrov, a rencontré ce matin
le cardinal Sodano, Secrétaire d'Etat du Vatican.
Les deux parties ont confirmé leur intention d'étendre le
dialogue politique entre le Vatican et la Russie et de contribuer au
développement du dialogue entre l'Eglise orthodoxe russe et
l'Eglise catholique romaine.
Ils ont souligné la nécessité de la
coopération entre les deux Etats dans toutes les organisations
internationales, dans le domaine de la culture et dans la construction
européenne.
La coopération entre l'Église orthodoxe russe et
l'Église catholique romaine doit exclure le prosélytisme
(sous entendu, de la part de cette dernière en Russie) a
cependant précisé le Patriarche orthodoxe de Moscou,
Alexis II, lors d'une déclaration, ce même jour,
à l'occasion d'un entretien, au
monastère Saint-Daniel de Moscou, avec le
président de la Chambre des Députés italienne,
Pier Ferdinando Casini.
Ria Novosti
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 06.06 De l'art de frapper
les vieux
curés: Entretien avec les commandos d'Act Up
-->
Mépris et violence.
Photo trouvée sur www.leforumcatholique.org
Jean-Paul
II, et Benoît XVI après lui, sont des "assassins",
l'Eglise est
homophobe et responsable des lapidations d'homosexuels (ce serait pas
l'Islam des fois?), du fait que certains d'entre eux finissent
brûlés,
et de millions de morts du Sida en Afrique (le Baf a déjà
répondu à ce
genre de légendes urbaines, ici).
La violence exercée hier
était
"symbolique", Mgr Jaquin s'est couché tout seul et deux
militants d'Act
Up l'ont entouré pour le protéger... (Quand même
deux jours
d'incapacité pour le vieil homme).
Rachel, la mariée en rose sur la photo, soutient que l'action
était
proportionnée et ne voit pas d'inconvénient pour Act Up
de remettre ça
à l'occasion. On ne peut s'empêcher, derrière les
innombrables
contradictions du témoignage de la militante d'Act Up,
derrière cette
rupture trop évidente entre leur "pureté" d'intention et
leurs méthodes
tenant plus de la stratégie militaire de provocation
politisée que de
la simple manifestation, de deviner ne serait-ce qu'un soupçon
de
fanatisme.
Fanatisme anticlérical, fanatisme anti-chrétien,
classique, sommaire,
teinté cependant d'une pointe de naïveté: En effet,
notre
interlocutrice a cité sans rire, à charge de l'homophobie
criminelle de
Benoît XVI, la déclaration suivante: "Les libertés
civiles des
homosexuels peuvent être légitimement limitées pour
cause d'un
comportement extérieur objectivement désordonné",
qui prend ici tout
son sens.
On attend prochainement ces courageux et impartiaux défenseurs
des
droits des homosexuels dans les grandes mosquée et synagogue de
Paris,
et devant les ambassades d'Egypte, d'Arabie Saoudite etc.
Entretien (avec une petite coupure
indépendante de notre volonté, qui ne touche pas au sens
de ce qui est dit, pour laquelle nous vous
prions de bien vouloir nous excuser) avec
Rachel, militante d'Act Up, présente à Notre-Dame hier (9'52).
D'autres photos
L'Eglise de Paris ne donne plus d'interview, sa plainte
déposée, elle
s'en remet à la Justice française. Le secrétariat
nous a transmis le
communiqué suivant:
"Hier, dimanche 5 juin 2005,
après la Messe
célébrée par l’Archevêque
de Paris à Notre-Dame devant des milliers de fidèles
portugais à
l’occasion de leur fête nationale, un groupe de militants
d’ACT’UP a
parodié, au cœur de Notre-Dame, la
célébration d’un « mariage » entre
deux femmes. Un tel acte est d’une extrême gravité
puisqu’il porte
atteinte d’une manière intolérable au
caractère sacré du lieu et qu’il
ridiculise et tourne en dérision la foi de millions de
français.
Les auteurs de ce
« coup médiatique »,
secondés par la télévision et la
radio publiques, visent à imposer leurs opinions par des voies
de faits.
Une église
est un lieu de culte et ne peut en aucune
manière être ainsi
utilisée. Les lois de la République postulent le principe
fondamental
de la liberté du culte et de son exercice.
Le Recteur
affectataire de la cathédrale, agressé, a
porté plainte pour
violences volontaires en réunion. Il appartiendra à
l’enquête d’établir
les faits et de dénoncer les allégations
mensongères".
Un certificat médical a été établi,
deux jours d'incapacité et de nombreuses contusions, notamment
à la nuque, pour Mgr Jaquin. "Pas un
truc énorme", rassure Rachel. |
06.06 Act Up,
violence: Le recteur de Notre-Dame blessé
Le recteur archiprêtre de
Notre-Dame de Paris a été légèrement
blessé dimanche dans des heurts entre des membres du service
d'ordre de la cathédrale et des militants d'Act Up venus
célébrer une parodie de mariage homosexuel, a
constaté un journaliste de l'AFP.Une vingtaine de militants se
sont introduits dans la cathédrale où ils ont
procédé en quelques minutes à une parodie de
mariage, sous l'oeil de fidèles et de touristes.
Déguisé en prêtre, un membre d'Act Up a
"marié" deux femmes, tandis que les manifestants scandaient:
"Benoît XVI, homophobe, complice du sida". Poursuivis par le
service d'ordre de la cathédrale, les militants sont sortis,
mais des heurts ont éclaté à l'extérieur,
au cours desquels le recteur archiprêtre, Monseigneur Patrick
Jacquin, a été légèrement blessé.
Touché à la nuque, il a reçu sur place les
premiers soins des pompiers."Il y a eu une manifestation dans la
cathédrale, c'étaient des sauvages. J'ai
été mis à terre et piétiné,
frappé par derrière à la base du cou, c'est
scandaleux de s'en prendre à moi et au pape", a-t-il
déclaré à l'AFP. "Cette bande musclée a
envahi la cathédrale créant un trouble manifeste de
l'ordre public. Je me réserve le droit avec
l'archevêché de porter plainte contre ces actes barbares,
odieux et scandaleux", a-t-il ajouté. Joint par
téléphone, le président d'Act Up Paris,
Jérôme Martin, qui participait à la manifestation,
a affirmé avoir lui-même été frappé
et a dénoncé une "mise en scène" du
prêtre."Nous ne voulions pas être agressifs
vis-à-vis des croyants (...) le service de
sécurité, agressif, a voulu arracher notre banderole",
a-t-il dit à l'AFP.Les manifestants d'Act Up avaient
participé dimanche matin à un rassemblement devant la
mairie de Paris "contre l'homophobie et pour l'égalité
des droits", marquant le premier anniversaire du mariage homosexuel de
Bègles.
Les actes d'antichristianisme se multiplient en France, la semaine
dernière, une librairie catholique, qui faisait en vitrine la
promotion
des ouvrages de Benoît XVI, a été souillée
d'une croix gammée peinte en
grand sur ladite vitrine.
AFP |
 03.06 Arabie Saoudite:
Chrétiens arrêtés à Riyadh. Appel des
familles à la communauté internationale
L'agence Asianews transmet l'appel
des proches et des familles des 8 chrétiens arrêtés
à Riyadh, le 28 mai dernier, pour leur Foi. Nouvel
épisode tragique pour la liberté religieuse en Arabie
Saoudite.
La repression du Christianisme par la fameuse police religieuse, la Muttawa,
connaît une rare recrudescence ces derniers temps. Parmi les
chrétiens arrêtés, deux indiens, John Thomas, 37
ans, originaire de Kerala, et Vijay Kumar, 45 ans, de Tamil Nadu.
John Thomas est accusé de prosélytisme. Ses parents
expliquent qu'il tenait simplement des rencontres de prières en
privé avec ses connaissances chrétiennes. Depuis 8 ans,
John tient chez lui des réunions de prières et de lecture
de la Bible. La famille témoigne "des tortures inhumaines"
imposées à John Thomas.
Le 28 mai, la Muttawa - laquelle travaille en cheville avec la
police régulière - est venue chercher John sur son lieu
de travail, l'a traîné à la maison, où il a
été passé à tabac devant son fils de 5 ans
et la baby-sitter, laquelle a aussi été violentée.
Après avoir ramassé bibles et autres objets religieux, la
Muttawa a
conduit John en prison. Grâce à Dieu, sa femme, enceinte,
était absente. Elle lance aujourd'hui un appel à la
communauté internationale afin de pouvoir rentrer en Inde avec
son mari.
Nos collègues d'Asianews ont pu rentrer en contact (via un
téléphone portable, oublié à la fouille
sans doute) avec un des sept autres chrétiens interpellés
le 28 mai. Celui-ci a raconté quels types de tortures et d'abus
ont leur faisait subir pour leur Foi
L’ICC, l'International Christian Concern, ONG de défense
des droits de l'homme ayant son siège à Washington, dit
son inquiétude devant la croissance de la répression du
christianisme en Arabie Saoudite: Selon elle, les arrestations du 28
mai sont les plus importantes de ces dernières décennies.
Sur 21,6 millions d'habitants, le royaume du roi Fahd compte 93,7% de
musulmans, 3,7% de Chrétiens, presque tous travailleurs
étrangers, soit environ 900'000 personnes. Toute manifestation
religieuse publique, posséder un Bible, porter une croix sur soi
à l'extérieur, prier en public, est fermement
interdit. Ces dernières années, grâce à la
pression de la communauté internationale, la couronne
saoudienne, a, par un effet de sa magnanimité, autorisé
la pratique d'autres religions, mais uniquement dans le cadre de la
sphère privée. Cela n'empêche cependant pas la Muttawa
de continuer d'arrêter, d'emprisonner et de
torturer les fidèles chrétiens. |
3.06 Cardinal Cipriani: "Un club
international de promotion des aberrations sociales"
Il existe une sorte de "club
international de promotion des aberrations sociales" a
déclaré dans une interview à l'agence Fides le
cardinal archevêque de Lima, Juan Luis Cipriani.
D’après le prélat péruvien, " un nouveau
féminisme qui ignore la maternité comme don le plus beau
fait par Dieu aux femmes est proposé et nous assistons à
la promotion de masse de l’hédonisme dans la
société leur portant particulièrement
préjudice.
Source Fondation Guilé |
  02.06 Tessin, « fanatisme laïc et Christophobie »:
Initiative contre le secret de la confession repoussée
« Excessif » et
« inopportun »
de vouloir obliger les ecclésiastiques tessinois à
témoigner lors des
procès pénaux, lorsqu’il est avéré
que les prévenus se sont confiés
dans le secret du confessionnal.
Le Grand Conseil tessinois a rejeté l’initiative
parlementaire du
socialiste Sergio Savoia, qui demandait la modification de
l’article
124 du code de procédure pénale cantonal, lequel
reconnaît aux
ecclésiastiques le droit de ne pas témoigner.
Le vote est significatif que certains sujets touchent plus volontiers
la conviction personnelle des députés qu’une
quelconque ligne
politique: 48 voix pour le rejet de l‘initiative, 14 contre
(moitié du PS, la Lega, l’UDC et les Verts; bref, que du
beau monde).
Savoia s’est fendu d’une belle tranche
d’anticléricalisme: « La loi contraint diverses professions au
secret… Cependant, les lois fédérales ou
cantonales peuvent aussi les contraindre à témoigner au
tribunal ». Le droit de refuser de déposer est
« un privilège »
qui, dans le cas des prêtres, « n’est pas plus digne de protection
que n’importe quel autre secret professionnel ».
Alex Pedrazzini a motivé le oui du groupe PDC en
déclarant : « C’est
surréaliste et relève de la pure science-fiction que de
vouloir
contraindre les ecclésiastiques à raconter à la
Justice ce qui leur a
été confié dans le secret du confessionnal ».
La vraie raison à l’origine d’une telle initiative
« n’est pas tant la
volonté de modifier une loi que de faire de la provocation,
fille du fanatisme laïc et de la "Christophobie",
maladie qui veut considérer la vérité
chrétienne comme une sorte
d’intolérable violence et non comme une richesse ».
Selon Pedrazzini « il
faut être d’une ingénuité frisant
l’angélisme pour imaginer qu’une
règle de ce genre aurait un effet concret pour
l’administration de la
justice ». En outre, « même
si la loi d’Etat insérait l’obligation, le droit
canon continuerait à
empêcher aux prêtres de violer la loi de l’Eglise,
laquelle prévoit
déjà le devoir d’abstention de toute
déposition devant les tribunaux », le tout
sous peine d’excommunication. Il convient de préciser
toutefois que, au Tessin, « il
est déjà permis au ministre du culte de témoigner
avec l’accord de son pénitent sans violer les lois de
l’Etat ».
A l’intervention de
Pedrazzini, Sergio Savoia a répondu
ce qui suit: « Christophobe,
moi? Pas plus que Pedrazzini n’est
taliban ». Classique…
Manuele Bertoli a également déclaré qu’une
des principales raisons pour
lesquelles trois membres du parti socialiste avaient refuser de signer
le rapport appuyant cette initiative, était le fait que cette
dernière
s’en prenait directement à la seule Eglise catholique,
« un
mauvais choix, le législateur doit garder à
l’idée que lorsqu’il est
question d’'ecclésiastiques', il convient de
considérer toutes les
Églises ». Pourtant, seule l’Eglise
catholique dispose d’une confession 'à secret'. Bertoli a
opté pour un « oui
avec scepticisme. Je ne serais pas si catégorique que
d’autres qui
prétendent qu’aucun prêtre ne témoignerait.
Il est en revanche
important de dire que, grâce à ce type d’initiative,
s’ils le veulent,
ils peuvent le faire. Il reviendrait ensuite à l’Eglise de
décider
comment elle compte s’adapter à la nouvelle norme
légale ». On
retrouve bien là les ingrédients au grand complet du bon
vieil
anticléricalisme socialiste, nier les principes, nier la
hiérarchie,
camarades curés unissez-vous! Etc. etc.
Abbondio Adobati, du parti libéral radical, a invité ses
collègues à ne
pas sombrer dans la confusion: « L’Institution de la
confession ne sert
pas à dissimuler les crimes. Quand le confesseur apprend des
faits
graves il est tenu, comme prescrit par le droit canon, de persuader le
pénitent de se rendre à la Justice ».
L'Eglise catholique honore de
nombreux prêtres martyrs,
morts pour avoir refusé de dévoiler le secret de la
confession. Parmi
eux, le tchèque saint Jean Népomucène, objet d'une
grande vénération populaire
dans les Alpes suisses (Tessin compris) au moment de la
Contre-Réforme. |
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01.06 Benoît
XVI: La Visitation, « première procession eucharistique
» de l’histoire
Benoît XVI s’est rendu
à la grotte de Lourdes du Vatican ce mardi soir en la fête
de la Visitation de la Vierge Marie, au terme de la prière du
chapelet dans les jardins du Vatican, sous la conduite de Mgr Angelo
Comastri, et promue par le vicariat de la Cité du Vatican.
« La Vierge
Marie nous accompagne chaque jour dans notre prière ...».
« Marie,
qui porte en son sein Jésus à peine conçu, se rend
chez sa vieille cousine Elisabeth que tous disaient stérile et
qui en était au contraire au sixième mois d’une
grossesse donnée par Dieu (cf. Luc 1, 36). C’est une jeune
fille, mais elle n’a pas peur, parce que Dieu est avec elle, en
elle. D’une certaine façon, nous pouvons dire que son
voyage a été – il nous plaît de le souligner
en cette année de l’Eucharistie – la
“première procession eucharistique” de
l’histoire ».
«
Tabernacle vivant du Dieu fait chair, Marie est l’Arche
d’Alliance dans laquelle le Seigneur a visité et
racheté son Peuple. La présence de Jésus la
remplit de l’Esprit Saint. Lorsqu’elle entre dans la maison
d’Elisabeth, sa salutation déborde de grâce: Jean
tressaille de joie dans le sein de sa mère, comme s’il
sentait la venue de Celui qu’il devra un jour annoncer à
Israël. Les fils exultent, exultent les mères. Cette
rencontre envahie par la joie de l’Esprit trouve son expression
dans le cantique du Magnificat ».
Plus,
le sujet de Zenit.org
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31.05 Italie:
référendum sur la fécondation assistée,
Benoît XVI appelle à l'abstention
« Nous ne nous
engageons pas pour les intérêts catholiques mais pour
l’homme, créature de Dieu »: c'est avec ces
mots que Benoît XVI a expliqué son soutien aux
évêques italiens dans la campagne sur le
référendum sur la fécondation assistée, les
12 et 13 juin prochains. Les évêques italiens ont en effet
pris position appelant les électeurs catholiques à
choisir l’abstention. Pour que le résultat soit
validé, il faut que la participation atteigne 50% plus une voix.
Le soutien de Benoît XVI a
déclenché une polémique dans la classe politique
italienne. Les radicaux, à l’origine du
référendum, dénoncent une ingérence
inédite de l’Eglise, tout comme 'Refondation communiste'.
Le secrétaire du parti des démocrates de gauche,
principal parti de la gauche italienne, estime en revanche que les
évêques ont le droit de donner leur opinion, plus valable
qu’un silence hypocrite (Source: Radio Vatican).
Le sujet de
Céline Hoyeau de Radio Vatican
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31.05
Benoît XVI : Il n’existe pas d’« alternatives
» au mariage et à la famille
Dans une lettre
adressée au cardinal Alfonso López Trujillo,
président du Conseil pontifical pour la Famille, le pape affirme
que « l’Eglise ne peut cesser d’annoncer que,
conformément aux plans de Dieu, le mariage et la famille sont
irremplaçables et n’admettent aucune autre alternative
».
Le pape déclare que se si les peuples veulent « donner un
visage vraiment humain à la société », ils
« ne peuvent ignorer le bien précieux de la famille,
fondée sur le mariage ».
« L’alliance matrimoniale, par laquelle l’homme et la
femme constitue une union pour toute la vie, ordonnée de par sa
nature au bien des conjoints et à la génération et
l’éducation des enfants, est le fondement de la famille,
patrimoine et bien commun de l’humanité »,
précise le pape.
« La famille chrétienne a aujourd’hui plus que
jamais une mission très noble et nécessaire, comme
c’est le cas de la transmission de la foi, qui implique le don de
soi à Jésus-Christ, mort et ressuscité, et
l’insertion dans la communauté ecclésiale »,
affirme Benoît XVI dans sa lettre.
« Les parents sont les premiers évangélisateurs des
enfants, don précieux du Créateur, en commençant
par l’enseignement des premières prières.
C’est ainsi que se construit un univers moral enraciné
dans la volonté de Dieu, dans lequel l’enfant grandit,
fidèle aux valeurs humaines et chrétiennes qui donnent
pleinement son sens à la vie », poursuit le pape.
Source: Zenit.org
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 31.05 Le
rabbin d'Ottawa défend Benoît XVI contre un "horrible"
dessin animé
Le rabbin Reuven Bulka, invité
de la série TV "in good
faith" et du programme radio hebdomadaire "Sunday Night with Rabbi
Bulka", a dénoncé un dessin animé
représentant le pape Benoît XVI
faisant le salut nazi à une statue de la Vierge Marie. Le rabbin
a
dénoncé le dessin animé comme "une horrible,
indésirable et
inexcusable insulte". " Il n'y a aucune place pour ce type de
satire
dans un monde civilisé".
Le court-métrage de Mike
Constable, intitulé "Heil Mary", a été
signalé sur rabble.ca,
site édité par la féministe Judy Rebick. Le
dessin animé s'ouvre avec
ces mots "A Creature of Habits" (une bête d'habitude) devant une
statue
géante de la sainte Vierge Marie. Le pape marche alors
jusqu'à la
statue et lui fait un salut nazi.
Bulka poursuit: "Comment Rebick et
ses cohortes
osent-elles jouer aussi lâchement avec tout ceci, avec la
dignité du
pape et avec la vie de dévotion qu'il a mené et continue
de mener
jusqu'à aujourd'hui".
Le dessin animé
Pour
protester
La
belle excuse de la satire |
27.05 Inde:
Nouvelles poussées d'antichristianisme
Les 15 et 16 mai, des
extrémistes hindous ont attaqué 11 familles
chrétiennes du village de Jamanya, dans l'Etat de Maharashtra.
Les autorités du village avaient cité les familles
à comparaître le 15 mai devant un "panchayat", un tribunal
villageois, leur demandant de renoncer à leur foi. Quand les
familles ont refusé, les hommes ont été
frappés avec de gros bâtons et chassés hors du
village. Le lendemain, la foule a attaqué les femmes et les
enfants, dont plusieurs se sont évanouis sous la violence des
coups. Des témoins ont rapporté que la foule a
tenté de dévêtir les femmes.
Sattar Singh, le responsable du village, a été
l'initiateur de l'agression. Il est connu pour ses connections avec le
parti nationaliste hindou, le Bharatiya Janata Party, très
opposé aux chrétiens.
La police mène l'enquête et des chrétiens locaux
ont déclaré leur l'intention d'exiger une fin à
ces hostilités qui durent depuis trois ans (source: Portes
ouvertes). |
27.05 Rome: Les luthériens
finlandais veulent faire partie de l'Eglise catholique du Christ
Les luthériens finlandais
souhaitent faire partie de l’Eglise catholique du Christ, a
affirmé hier mercredi l’évêque d'Helsinki, le
révérend Eero Huovinen, lors du Congrès
eucharistique national italien qui se déroule en ce moment
à Bari.
Le révérend Huovinen est intervenu au cours de la
journée consacrée à
l’œcuménisme dans le cadre du Congrès
eucharistique de Bari. Le pape Benoît XVI célèbrera
dimanche la messe de clôture du congrès.
Après avoir expliqué que Martin Luther ne voulait pas
fonder une nouvelle Eglise mais qu’il souhaitait simplement la
réformer, le révérend a déclaré :
« Nous les luthériens finlandais souhaitons faire partie
de l’Eglise catholique du Christ ».
L’évêque luthérien de Helsinki a
expliqué qu’ils ont célébré en 2005,
aux côtés d’autres chrétiens
luthériens et des catholiques, les 850 ans de l’Eglise en
Finlande, qui représente 84% de la population du pays.
« Nous prions avec les frères et sœurs catholiques
afin de pouvoir être un dans le Christ », a-t-il
souligné.
Il a poursuivi en disant que « sans le sacrement de la sainte
Eucharistie, sans le Christ et sans Dieu », on ne peut pas vivre,
reprenant le thème du
congrès « Sans le
dimanche, nous ne pouvons pas vivre ». Dieu n’a pas
créé le dimanche uniquement pour que les hommes puissent
se reposer, a-t-il souligné, mais pour sanctifier la fête,
comme le rappelle le troisième commandement.
« Le dimanche est le jour de la résurrection du Christ
» et « l’Eucharistie est le sacrement de la
présence réelle du Christ », a souligné le
révérend Huovinen.
« L’unité ne se réalise pas sans la
vérité », a-t-il poursuivi, et le seul chemin est
« la vérité et la charité ».
« Du fond du cœur, a conclu l’évêque
luthérien, je voudrais anticiper le jour où
luthériens et catholiques, ensemble, pourront s’unir sous
une forme visible ». (source: Zénit.org) |
27.05 Rome: Le pape rencontre des représentants juifs
A la fin de l’audience
générale de ce mercredi le pape a salué une
cinquantaine de représentants juifs, dont quelque rabbins.
Benoît XVI les a salués très chaleureusement et a
parlé avec eux pendant quelques minutes, place Saint-Pierre.
Les représentants juifs sont venus à Rome à
l’occasion du premier Symposium international
judéo-chrétien, promu par le mouvement des Focolari,
à Castelgandolfo.
Le cardinal Walter Kasper, président de la Commission
pontificale pour les Relations religieuses avec le Judaïsme, est
intervenu mardi en soulignant les pas « surprenants »
accomplis dans le dialogue judéo-chrétien.
Après avoir rappelé à quel point le dialogue entre
juifs et catholiques tenait au coeur du nouveau pape, le cardinal
allemand a indiqué les trois défis principaux de ce
dialogue : tout faire pour se connaître, approfondir la recherche
théologique réciproque, ainsi que la «
collaboration » dans l’aide aux pauvres, la promotion des
valeurs de la vie, de la famille (Zenit.org). |
 19.05
Benoît XVI rencontre
les parents de Terri Schiavo
Le pape
Benoît XVI a salué
mercredi les parents de Terri Schiavo, la jeune femme
américaine
décédée suite à une
décision
judiciaire ayant ordonné que l’on
débranche la
sonde d’alimentation qui la maintenait en vie.
A la fin de
l’audience générale, qui a eu lieu
place Saint
Pierre, le pape a salué Bob et Mary Schindler qui lui ont
montré une photo de leur fille.
Les parents de
Terri Schiavo sont venus à Rome accompagnés par
des
membres de l’association des Missionnaires de
l’Evangile de
la Vie, fondée récemment par le père
Frank A.
Pavone.
Bob et Mary
Schindler ont rencontré hier le card. Renato R. Martino,
président du Conseil pontifical Justice et Paix, qui
était intervenu avec fermeté en demandant de
sauver la
vie de Terri Schiavo.
A la fin de
l’audience, Benoît XVI a également
salué un
à un les malades et les handicapés en fauteuil
roulant. (Source Zenit.org)
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