La nature a parlé! Les politiciens, eux, vont sans doute nous parler de la responsabilité des paysans (qui laissent paître, ces inconscients, leurs veaux sans caméra de surveillance, sans maîtres chiens et sans vigiles de sécurité).
Il faudra sans doute une bonne dizaine de veaux et autres bestiaux domestiques au tableau de chasse du nouvel ours suisse, pour qu’on se décide à lui faire passer la frontière dans l’autre sens avec une volée de plomb dans ses augustes fesses.
Info complète ici.
art. du BAF du 29.07
Prochaine chronique de de Poncin : Suisse – Pourquoi l’ours brun est-il de retour chez nous ?
Argumentation possible 1. Il faut renforcer les contrôles aux frontières
2. C’est la faute au modèle socialiste
3. L’ours n’est pas brun mais noir, il n’a donc rien à faire ici.
J’ai bien peur que l’ours ne soit on ne peut plus brun, quoiqu’issu du pays des chemises noires (et rouges aussi… et rouge et noir mélangés ça fait du brun… darn complicated). De qui ou de quoi les veaux peuvent-ils être l’allégorie donc… zat iz ze kweschtillonne?
J’ai bien peur en outre que ce genre d’argumentation à l’emporte-pièce ne réponde pas exactement aux arguments de ce M. de Poncins…
Autre chose?