Déclarations de Xiao Yu: Révoltant!

Dans son communiqué, le musée des Beaux-Arts de Berne déclare que, selon les informations obtenues de l’artiste Xiao Yu ce matin même, le foetus serait issu du musée d’histoire naturelle de Pékin où il aurait flotté dans le formol depuis les années soixante ou septante avant d’être vendu (sans doute sous le manteau) par un des chercheurs du musée.

Que l’artiste ait pu acheter le corps d’une petite fille, issue, selon lui, d’une fausse couche (ou victime de la politique de l’enfant unique, particulièrement féroce dans les années 70?) est effrayant. Qu’il ose déclarer "C’est précisément parce que je respecte toute vie que j’ai fait cela" est proprement révoltant. Nous continuons de penser qu’il y a une distinction urgente à faire entre "art" et "travaux manuels pour quartiers de haute sécurité d’asile psychiatrique".

Navrant qu’il ait fallu deux mois et une plainte pénale pour que les conservateurs du musée s’inquiètent enfin de connaître ce qu’ils exposaient; c’est loin d’être professionnel.

Quand on pense aux normes de traçabilité d’un steak ou d’une cuisse de poulet, où l’on peut savoir en quelques secondes le lieu de naissance, d’existence, d’abattage, le régime alimentaire, les soins de l’animal et que l’on ignore tout du sort d’un enfant… Ca fait peur et ça fait mal. Vous ne pouvez pas rentrer avec des fruits ou des légumes dans certains pays sous peine de fortes amendes ou d’emprisonnement, mais vous pouvez rentrer en Suisse avec une tête de foetus sous le bras sans être inquiété le moins du monde.

Foetus dont personne ne sait rien, de tout évidence cette tête n’a pas même la valeur d’une vulgaire pièce de viande.

Je vous parle d’un foetus de six mois, d’une petite fille chinoise qui aurait peut-être mon âge aujourd’hui, qu’on a vendu par un trafic abject et dont on a découpé la tête pour la coudre sur le corps d’une mouette, et qui flotte, depuis 6 ans, toutes ailes déployées, sans jamais pouvoir s’envoler.

Mme Gilgen ne pouvait pas nous dire quel était le message de cette oeuvre. Nous avons peut-être une idée, cette oeuvre ne nous dit qu’une chose: "Laissez-moi, laissez-moi partir, là-haut, laissez-moi m’envoler une fois pour toutes, ouvrez ma cage et libérez-moi!". Après trente ans de bocal la petite fille mouette de Pékin aura-t-elle enfin droit au repos?

A plus de 22 semaines, ce foetus a le droit d’être enregistré, de recevoir un nom, d’être enterré ou incinéré. Cet être humain a droit a une sépulture digne; nous sommes convaincus que la Justice de Berne lui trouvera une petite place… dans un colombarium.

19 réponses à Déclarations de Xiao Yu: Révoltant!

  1. JM dit :

    Aller portons plainte contre toutes les facultés de médecine pour atteinte à la paix de morts, pareil pour les musées d’histoire naturelle, etc. Et l’exposition de Bâle sur l’Egypte de l’année passée?

    De la manière dont vous écrivez vous êtes manifestemment plus préoccupé par le scandale qu’autre chose et aimez bien appuyer sur le côté dramatique et émotionnel.

    Ce qui est le plus scandaleux dans cette histoire Cher Monsieur, c’est que cette oeuvre d’art qui vous indigne tellement se retrouve à la une du Matin et visible par tout le monde, y compris enfants et personnes sensibles.

    Je ne rentrerai pas dans le débat car c’est un long débat et de toute façon je ne discute en général pas avec les gens extremistes.

  2. JM dit :

    Vive la censure!

  3. mouette dit :

    Et moi ??!!

  4. psychiatre dit :

    Il me semble que vous énoncé souvent le mot spychologique, et consort cher Monsieur Webmestre, tant dans vos post que dans vos comments… Que cela cache-t-il ? Une petite consultation ?

  5. art dit :

    Diversité et vitalité de l’art contemporain en Chine

    Une nouvelle biennale, à Montpellier, et une énorme exposition, la plus grande jamais réalisée par le Kunstmuseum de Berne (Suisse), dressent un panorama de la diversité et de la vitalité de l’art contemporain Chinois. La plupart des Européens ne l’ont découvert que très récemment, en 1999, lors de la Biennale de Venise organisée par le Suisse Harald Szeemann. Sur une centaine d’artistes, l’exposition comptait dix-sept Chinois. L’un d’eux, Cai Guo-Qiang, avait reçu un des prix internationaux. Son oeuvre, qui représentait cent sculptures de travailleurs, était inspirée d’un groupe de soldats et étudiants commandés par le régime lors de la révolution culturelle.

    Interrogé alors par Le Monde, le 16 juillet 1999, Szeemann, décédé en 2005, expliquait avoir rencontré cet univers grâce à l’ambassadeur de Suisse à Pékin, Uli Sigg. Ce sont 130 des 180 artistes, ou 340 des 1 200 oeuvres, de la collection de ce dernier qui sont présentés à Berne : une introduction d’autant plus indispensable à l’art chinois qu’elle débute par des oeuvres réalistes socialistes, les seules en odeur de sainteté sous Mao, et montre ensuite l’évolution extrêmement rapide des arts plastiques dans l’ancien empire du Milieu.

    La République de Chine a été instituée en 1912. De nombreuses académies des beaux-arts bâties sur le modèle occidental s’ouvrent de 1912 à 1928. En mai 1942, Mao Zedong prononce un discours lors de la Conférence sur la littérature et l’art à Yenan : « L’art doit servir le peuple, donc les ouvriers, les paysans et les soldats. » Ce mot d’ordre devient la référence culturelle du Parti communiste. La République populaire de Chine est proclamée le 1er octobre 1949, présidée par Mao : les arts doivent toujours servir le peuple, mais aussi « inspirer son éclaircissement politique et encourager son enthousiasme pour le travail ».

    « UN INSTINCT DE SURVIE »

    L’Association des artistes chinois, créée sous la direction du département de propagande du Parti communiste, est chargée d’exécuter la politique des arts plastiques du parti. Mao meurt le 9 septembre 1976. A partir de 1978, la Chine s’ouvre à l’Ouest, d’où une pléiade de traductions de textes sur la philosophie, l’esthétique et l’histoire de l’art occidental. L’Académie des beaux-arts de Zhejiang fonde ainsi la revue Guowai Meishu Ziliao (« documents artistiques étrangers »), qui deviendra, en 1980, Meishu Yicong (« traductions sur l’art »), et qui constitue un des principaux canaux d’informations artistiques sur l’Occident.

    Durant un éphémère « printemps de Pékin », auquel les autorités mettent fin le 29 mars 1980, des artistes non officiels commencent à se regrouper. C’est le cas de Xing Xing (« les étoiles »), avec des individualités comme Ma Desheng, Wang Keping, Huang Rui, Li Shuang, Yan Li ou Ai Weiwei ­ né en 1957, ce dernier est aussi un des organisateurs de l’actuelle rétrospective de Berne ­, qui tentent de montrer leurs travaux le 26 septembre 1979 dans un parc à Pékin. Prévue pour durer trois semaines, l’exposition est fermée trois jours plus tard. La plupart des membres du groupe quittent le pays pour s’installer en Europe et aux Etats-Unis entre 1981 et 1987.

    Pourtant, en avril 1985, le forum de Huang-Shan, une conférence officielle des artistes et critiques d’art, rejette les critères conservateurs et politisés et affirme qu’en accord avec la modernisation de la société chinoise la peinture devrait se développer dans une direction moderniste et que l’art devrait être cosmopolite plutôt que national.

    Dans tout le pays, entre 1985 et 1987, on compte plus de 80 groupes artistiques non officiels. La même année 1985, une nouvelle revue apparaît, Zhongguo Meishubao (« journal artistique de la Chine ») pour présenter les nouveaux courants. Elle consacre une édition entière à l’exposition de l’Américain Robert Rauschenberg organisée au Palais des beaux-arts de Pékin. Le pop art surgit dans le monde artistique chinois.

    Enfin, en 1989, une manifestation en faveur de la démocratie rassemble 300 000 étudiants à Pékin, place Tiananmen. D’abord tolérée, elle est réprimée par l’armée dans la nuit du 3 au 4 juin.

    Aujourd’hui, le pouvoir politique, qui a d’autres soucis, fiche pour l’instant une paix royale aux artistes. Tant qu’ils ne se font pas trop remarquer. Les plus chanceux d’entre eux peuvent voyager, dans le pays et à l’étranger, ce qui n’est pas donné à tous leurs concitoyens. C’est que la situation n’est pas rose pour un artiste dans l’empire du Milieu. « L’artiste contemporain chinois doit faire preuve à la fois d’un instinct de survie et d’une capacité d’adaptation hors du commun, écrit José Frèches, le commissaire de la Biennale de Montpellier. Il lui faut concomitamment tirer parti d’un système où personne, à vrai dire, ne l’attend ; trouver les moyens de survivre dans une société où les institutions culturelles publiques ne consacrent pas un sou à l’achat de leurs oeuvres et où le marché de l’art contemporain n’en est qu’à ses premiers balbutiements… »

    On lira à ce propos l’excellent article de Gu Zhenqing, Ecosystème de l’art contemporain à Shanghaï, dans le catalogue de la biennale. Il décrit l’influence des étrangers, comme le Suisse Lonrenz Hebling, qui ouvrit, il y a dix ans, la galerie Shanghart, la première en Chine à se constituer sur des critères internationaux, mais avec des artistes locaux, ou le duo italo-belge Davide Quadrio et Kateljin Verstraete, fondateurs en 1998 du centre Bizart (pour Business Art).

    Des étrangers, donc, car comme l’admet José Frèches les vedettes du marché de l’art, pour les Chinois, n’ont rien de commun avec celles reconnues en Occident. Mais, dit-il, « les créateurs qui nous intéressent coexistent avec des artistes plus traditionnels. Chacun vit sa vie, et personne ne s’autoriserait à critiquer l’autre. L’académisme peut fort bien côtoyer le radicalisme minimaliste sans le moindre frottement… »

    Peu avant son décès, en 2000, Chen Zhen expliquait, lors de la Biennale de Venise de 1999, l’explosion de la Chine en matière d’art contemporain, qui n’a donc ni soutien économique ni marché intérieur, par la paradoxale indifférence de l’Etat, qui crée une espèce d’espace libre pour les artistes. Et pour les marchands et collectionneurs occidentaux, venus razzier les meilleurs talents.

    Car si Chen Zhen se déclarait heureux, « en tant que Chinois », de voir les artistes de son pays ainsi représentés à Venise, il espérait qu’il ne s’agissait pas que d’une mode. D’autant que les artistes chinois savent exactement ce que le collectionneur occidental attend d’eux. Il existe une très jolie expression là-dessus, qu’explique l’universitaire Monica Dematté dans le catalogue de Montpellier : c’est l’art du « pai ma pi » , l’art de « flatter le cheval » … Szeemann, lui, était confiant : « Avec les Chinois, disait-il au Monde, j’ai eu des discussions formidables. Ils forment une génération qui ne veut pas s’exiler, mais changer les choses de l’intérieur. Pour survivre, ils doivent mettre au point une double stratégie, en usant des médias traditionnels de l’art, mais avec une ironie qui n’existe plus beaucoup en Occident. »

    C’est aussi l’avis de José Frèches, qui s’adresse directement à ses amis Chinois : « On peut parier que dans trente ans, l’artiste contemporain le plus cher de la planète sera un des vôtres… » A ce rythme-là, cela pourrait prendre moins longtemps.

  6. labigmouche dit :

    Je viens de vous voir au TJ, vous êtes parfait dans votre rôle de gentil garçon, à mon avis vous avez une grande carrière devant vous, et l’escroquerie continue.

  7. webmestre dit :

    @psychiatre

    volontiers…

  8. labigmouche dit :

    Cher Monsieur, comme vous ne répondez, sans doute le manque d’ argumente, Labigmouche vous parle encore de vos agissements.

    Finalement, j’en conclus, après visite de votre blog, qu’il aurait bien besoin de publicité et ceci expliquerait cela.

    Si on analyse un minimum votre prise de position, héroïque pour les uns et lamentable pour les autres, comme disait Oscar Wild « Que l’on parle de vous en bien ou en mal, l’important c’est que l’on en parle » toute cette petite polémique vous est très profitable, car votre blog, c’est évident, tourne à vide et un petit coup de publicité serait la bien venue.

    Votre prise de position repose sur l’absurdité de se servir de ce pauvre foetus pour véhiculer une idée quelle qu’ elle soit, vous trouvez ça honteux et révoltant, mais alors que penser de cette photo qui vous montre posant aux cotés de cette même tête de foetus, n’est- il pas encore plus monstrueux et plus lâche de se servir de cette tête de foetus afin de parler d’un blog dont tout le monde se fout, car c’est bien vous que je vois en photo aux cotés de cette tête de foetus dans le Matin !

    Cette artiste chinois, lui au moins a eux le courage de prendre le risque de choquer pour véhiculer son opinion alors que vous, vous vous êtes greffé comme un parasite opportuniste.

    Le plus absurde dans ce non-événement, c’est que l’artiste chinois accusé de tous les maux s’efforce, dans son travail, de dénoncer les manipulations génétiques dangereuses à ses yeux ; alors là, on tombe dans le pathétique, car justement, c’est un de vos sujets de prédilection, vous n’avez de cesse de condamner et de fustiger tout ce qui touche à ce sujet, sautant sur l’occasion pour vous répandre en bons sentiments et en raccourci rapide, bien sûr, vous avez très bien compris que par ce biais, il vous est plus facile de véhiculer votre doctrine simpliste, car vous vous adressez à des gens dont l’esprit critique est embrumé par un mensonge vieux d’un double millénaire.

    Je pense que vous devriez revoir votre façon de faire, car votre manipulation est limpide et maladroite.

    C ‘est bien ce que je pensais, vous êtes une petite chose informe, avide de reconnaissance même locale, pour véhiculer vos idées désuètes et consternantes.

    N’oubliez jamais que Labigmouche vous observe.

  9. webmestre dit :

    Cher Monsieur,

    Figurez-vous que je bosse… et n’ai, par conséquent, pas beaucoup de temps.

    Votre opinion vous est propre.

    Formulez un nombre limité de questions claires et nécessaires, qui ne soient une succession de critiques personnelles, et je tâcherai d’y répondre avant la fin du mois.

  10. JM dit :

    Figurez-vous que je bosse €¦ et n’ai, par conséquent, pas beaucoup de temps.

    Vous bossez sur l’histoire de l’art chinois perhaps?

  11. labigmouche dit :

    Il est vrai que de lire une demi-page et d’y répondre avec des arguments cohérents, c’est du travail, il faut réfléchir, il est bien plus facile de remuer la boue pour mettre en valeur son image médiatique dans un but propagandiste et populiste.

  12. SvenHought dit :

    Les posts de Labigmouche, essentiellement faits d’insultes, sont bien typiques de la pensée unique, toujours prête à censurer au nom de la liberté et à accabler l’adversaire de son mépris et de ses sarcasmes.
    Quant à Psychiatre, tout fier de sa psychanalyse de café-philo, il recourt aux bonnes vieilles méthodes du stalinisme triomphant : la psychiatrie pour les adversaires.
    Heureusement qu’il reste encore des Trissotins gauchistes pour nous faire rire avec leur sérieux impayable !

  13. JM dit :

    Au passage, on s’éloigne un peu du sujet mais permettez moi de commenter cette phrase:

    Quand on pense aux normes de traçabilité d’un steak ou d’une cuisse de poulet, où l’on peut savoir en quelques secondes le lieu de naissance, d’existence, d’abattage, le régime alimentaire

    Cette phrase est tout bonnement un tissu de mensonge. Je suis à la limite d’accord pour certains produits alimentaires suisses, mais n’allez pas me dire que les information sur un steack argentin sont a disposition, et ce en quelques secondes.

    On ne parlera pas de traçabilité sur d’autres types de produit (Electronique, Textile, etc.) parce que là y a pas de traçabilité.

    Vous qui vous vous prenez pour un journaliste voir même une rédaction (utilisation du « nous » à outrance), prenez au moins la peine de vérifier si ce que vous dites tient debout ou pas.

  14. labigmouche dit :

    On est encore dans le cliché de droite, la pensée unique et les méthodes de ce bon Jo le petit père  » Et j’ai crié, crié…é Staline pour qu’il revienne! « 

  15. art dit :

    ca sent un peu trop la politique dans cette affaire …. non ?? l’art ne doit pas être politique non ? d’ailleurs webmestre tu as eu plus de critique que d’encouragements… donc tu as eu tort d’agir ainsi,

    démocratiquement pris au piège… Le comble de l’ironie…

  16. Gaudin dit :

    Je trouve le comportement de ce jeune homme (M. De Riedmatten) absolument immature…. Si c’est pour se faire un coup du pub là par contre il à bien compris le sens de la chose mais ne doit surement pas comprendre grand chose à l’art en général!!!! J’ai vraiment honte d’être valaisan en lisant ses propos qui n’ont aucuns fondement… Simple histoire de faire parler de lui..

  17. Réponse à Art… au contraire, l’art est souvent politique, et doit l’être. Pour le plus complaisant – David peignant à la gloire de Napoléon, ou le secteur du réalisme soviétique, pour parler de quelque chose de plus récent.

    Cela peut aussi être plus subversif, tout en finesse – Verdi, alias « Vittorio Emmanuele Re D’Italia », composant le « Choeur des Hébreux » de Nabucco. Au temps de ce dernier, serais-je tenté d’ajouter, on avait encore de l’habileté pour contourner les aléas de la censure et des lois. Autre exemple, littéraire celui-là, ce bon vieux Beaumarchais… Tout cela, c’est de l’art.

    Tout ce qu’on peut regretter, peut-être, c’est la perte du côté fin, subtil, double sens, que l’on pouvait trouver dans les créations de cette époque.

    Enfin, le fait que les critiques soient plus nombreuses que les encouragements ne prouve nullement une erreur de la part du maître-toilier – soit dit en toute amabilité.

    Merci de m’avoir lu…

  18. art dit :

    tu as raison ce que je voulais dire que la politique est dangeureuse lorsqu’elle s’occupe d’art car elle est trop obnubilée par une morale ascendante à son partie, quelque partie s’agit-il…

    Exemple : couchepin… mais il a bien changé maintenant en une année. bravo à lui sourtout.

  19. labigmouche dit :

    Avec David ou Bron, on est dans une logique de savoir-faire artistique au service d’un pouvoir totalitaire avide de reconnaissance et de cultes de la personnalité, alors que là on est à la coop rayon sordide  » Tien voila une chose horrible qui peut être reconnu comme tell par le plus grand nombre, donc je saute sur l’occasion pour que l’on parle de mes idées, qui sans cette publicité volée, ne dépasseraient pas Martini sud  » C’est évident

    David était quand même payé pour ses portraits, ici on est dans une logique de détournement artistique dans un but malsain et répugnant de faire son malin aux yeux d’un peuple avide de sensationnel, c’est facile et minable.

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