Malgré ses efforts opiniâtres (deux communiqués de presse), le CICR n’a pas obtenu de réponse du Hezbollah quant à la possibilité de visiter les soldats israéliens enlevés. Il entre donc en action et déclare à l’AFP: «To this day we have not received a positive response.» La Suisse entretient pourtant des relations privilégiées avec l’Iran, à qui elle tend volontiers la main en matière nucléaire. Et justement, le partenaire iranien de la conseillère fédérale chargée de ce dossier semble être très proche du chef du Hezbollah.