A la tête d’une coalition "humanitaire" elle fait le jeu des faux réfugiés au détriment des vrais.
Mme Dreyfuss est très mal, mais alors très mal, placée pour évoquer le prétendu mauvais accueil des réfugiés en Suisse pendant la seconde guerre mondiale
La chronique de Francis Richard
En Suisse, ça ne fait aucun doute, Dreyfuss est coupable !
A propos d’accueil en Suisse pendant la Seconde Guerre Mondiale, on lira avec profit « Une autre Suisse, 1940-1944 » de Jean-Pierre Richardot, ouvrage évoquant les actions de particuliers pour accueillir des réfugiés en Suisse, et rappelant ce que la neutralité a permis dans la lutte contre la dictature nazie. Un livre qui a fait contrepoint, à l’époque, au nettement plus pessimiste (et plus connu) « La Suisse, l’or et les morts » de Jean Ziegler.