L’Islam est le pire problème de la grande majorité des Musulmans (suisses)

Hier à Berne, la Commission fédérale contre le racisme lançait «un appel à la tolérance face aux 340.000 musulmans de Suisse» (voir et entendre aussi Le message de Boël Sambuc, Les musulmans refusent l’amalgame et Débat contradictoire). Cet événement comportait plusieurs incongruités:

Le fait qu’une commission contre le racisme ponde un rapport sur les musulmans est en soi l’aveu d’un sophisme fondamental, car non seulement l’Islam n’est pas (ou plus) lié à une race, mais on nous apprend dans le même souffle que la communauté musulmane suisse est extrêmement dispersée, et «rassemble» même une centaine de nationalités différentes. Cette commission tente donc de nous faire avaler en douce et contre toute évidence que le rejet de la religion musulmane peut être assimilé au racisme. Bien entendu, il n’en est rien — on peut fort bien être allergique à la religion partagée par les pires terroristes de la planète sans ressentir la moindre aversion de nature raciste.

La commission regrette ensuite que «les hommes et les femmes appartenant à cette minorité religieuse se voient parfois refuser la naturalisation à cause de leur confession» et que «les préjugés anti musulmans rendent aux jeunes la tâche difficile lorsqu’il s’agit de trouver une place d’apprentissage». Sommes-nous donc contraints d’accepter parmi nous, comme s’ils étaient des nôtres, des gens affirmant, par le fait d’être des Musulmans, que leurs plus profondes convictions leur ordonnent de nous tuer, de nous mutiler, de nous asservir, de nous humilier et de nous dépouiller? Au nom de quelles saintes balivernes devrais-je permettre à un individu nourrissant de telles ambitions de partager mon espace vital? Et puis quoi encore?

La Commission répète à l’envi le mot «préjugé», comme s’il n’existait aucun motif raisonnable de se méfier de gens qui répètent plus de cent fois par semaine que les Juifs ont mérité la colère de Dieu et que les Chrétiens sont des égarés. Comme s’il était impossible de se faire une idée claire sur la nature profondément criminogène de la religion islamique sans se baser sur d’infâmes préjugés raciaux. Le discours de cette commission est profondément insultant. Et quand elle recommande la création de «chaires d’enseignement des sciences religieuses dans les universités publiques», on doit lentement se demander si c’est par pure ignorance ou par mauvaise intention?

Mais cette commission apporte aussi des solutions, sans vraiment s’en rendre compte. Elle nous apprend ainsi que seuls 15% (au plus) des Musulmans suisses sont pratiquants, soit quelque 50.000 personnes. Nous devons donc en déduire que pour la très grande majorité (au moins 85%) des Musulmans suisses, les mosquées, les cours de sciences religieuses, les associations islamiques, etc. ne sont certainement pas une nécessité. Ces 50.000 personnes qui s’accrochent à l’exercice ostentatoire d’une religion qui menace de faire sombrer le monde dans le chaos sont donc à l’origine, au niveau suisse, de la méfiance qu’y inspirent l’ensemble des Musulmans.

En tout cas, c’est à cause de leurs initiatives à connotation résolument pro-islamique — construire des mosquées, des minarets, prier sur la place fédérale, exiger que l’on sépare nos filles de nos garçons dans les piscines, qu’on instaure des programmes d’études universitaires pour l’apprentissage de ce qui sert de culte de la haine et du terrorisme un peu partout dans le monde, etc. — que les membres raisonnables de la communauté musulmane ont de la peine à s’intégrer en Suisse.

En somme, si nous interdisions la propagation de la religion musulmane en Suisse, jusqu’à sa modernisation, nous faciliterions grandement la vie de la très grande majorité de nos Musulmans. De facto.

ajm sur precaution.ch

3 réponses à L’Islam est le pire problème de la grande majorité des Musulmans (suisses)

  1. Louis dit :

    Mme Sambuc termine une interview dans 24heures d’aujourd’hui http://www.24heures.ch/vqhome/le_journal/suisse/musulmans_020906.edition=ls.html par une phrase inacceptable:

    « Si nous ratons notre chance d’intégrer les jeunes musulmans,
    peut-être allons-nous forcer les muslmans à se conformer à nos
    préjugés sur eux »

    Cet argument est répété inlassablement par les adorateurs de la peur du devoir. Le devoir des responsables politiques est d’analyser les faits sociaux objectivement, scientifiquement et d’en tirer des conclusions qui s’inscrivent notamment dans la préservation de l’ordre démocratique.

    Mme Sambuc, nommée (à vie?) par le département de l’intérieur comme vice présidente de la commission contre le racisme exerce une délégation de fonction politique.

    Or, elle voudrait nous faire croire que si les commandements de l’Islam sont à l’exact et symétrique opposé des normes fondamentales de notre ordre démocratique, ce serait de notre faute, nous citoyens, dont les impôts contribuent à son salaire???

    Mais de qui se moque-t-on ?! L’ordre islamique ordonne de combattre et renverser notre système d’organisation sociale et politique et d’oser le dire précipiterait le phénomène sans que nous soyons ni en mesure ni en droit de nous en défendre?!

    C’est ce que j’appelle la peur du devoir Madame Sambuc. Honte sur vous Madame, vous qui fûtes l’une des représentantes officielle et néanmoins témoin passif de la mascarade raciste de Durban en 2001. Et je pense que vous n’avez plus rien à faire à votre fonction, si votre rôle est à présent de nous enjoindre à nous terrer dans la dhimmitude.

  2. elf dit :

    €œSi nous ratons notre chance d’intégrer les jeunes musulmans,
    peut-être allons-nous forcer les muslmans à se conformer à nos
    préjugés sur eux €?
    Toutes les déclarations des pourfendeurs d’islamophobes que nous sommes, comportent immanquablement une menace voilée. Cette déclaration ne fait pas exception. Or donc, si nous refusons cette religion de « paix et d’amour » qui nourrit pratiquement tous les terroristes de la planète, les jeunes musulmans vont se sentir contraints de se conformer à nos craintes de devenir intolérants, revendicatifs, fourbes, violents, assassins de mécréants, bref de suivre les injonctions du Coran au Jihad!
    L’islamophobie est la peur fondée de qui ne veut pas de cette intolérance, de cette violence et qui refuse d’abdiquer nos valeurs culturelles fondamentales de liberté et de démocratie. La peur du nazisme, autre forme de totalitarisme, était tout aussi fondée, mais là aussi il y avait encore en 1938 des gens pour dire qu’il n’y avait pas de raison d’avoir peur.

  3. zuffereymarie-claire dit :

    ALLONS-NOUS SUPPORTER, A VIE CETTE FONCTIONNAIRE DEBILE NOUS SEMONNER ET NOUS APPRENDRE DE FORCE QUI SONT NOS AMIS ET QUI SONT NOS ENNEMIS….! QU’ELLE DEMENAGE EN ARABIE ET AMENE SON EVANGILE AUX POPULATIONS RACISTES ET XENOPHOBES DE L’ORIENT MUSULMAN….QUEL BON DEBARRAS….!

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