Du danger intérieur et
de l’inanité de l’apaisement

Hier, Al-Qaida publia une longue vidéo (48 minutes) en anglais et en arabe sous-titré anglais destinée à convaincre les Américains d’adopter l’Islam. On peut y apprendre, de la bouche en coeur d’un converti, que la civilisation occidentale, considérée comme un mouvement compact et homogène, s’est rendu coupable des pires exactions au cours des âges et que seul l’Islam, révélé par le prophète Mahomet, est la voie.

Son discours est celui, standard, de la dawa, de l’appel à la foi islamique, la première étape du djihad offensif tel qu’il est décrit de manière parfaitement consensuelle par toutes les écoles de jurisprudence de l’Islam. Si l’individu n’était pas fiché par le FBI et introduit par le numéro 2 d’une organisation islamique qui a déclaré une guerre terroriste à l’Amérique, ses paroles pourraient très bien être celles, par exemple, d’un cadre de l’administration fédérale suisse, imberbe, volontiers souriant, participant à une réunion d’information suintante de pacifisme sur sa religion.

Des gens aveugles ou malhonnêtes (ou les deux?) tentent de nous faire croire que la solution au problème de l’intégration des Musulmans passe par l’institutionnalisation de leur religion dans nos hautes écoles. C’est au contraire la pire des erreurs. Car ce sont toujours ceux des Musulmans qui connaissent le mieux l’Islam qui en déduisent les règles les plus cruelles. Les Musulmans deviennent d’autant plus dangereux qu’ils se rapprochent des textes de leur religion. Car leur livre saint est une pure incitation à la haine, comme le confirme l’examen du processus d’élaboration des lois islamiques, des lois dont la Cour européenne des Droits de l’Homme a officiellement confirmé l’incompatibilité fondamentale avec la démocratie.

Nous ne pouvons peut-être pas empêcher les Musulmans de croire en le bien-fondé de lois qui, en toutes lettres et depuis des siècles et des siècles, les exhortent à rejoindre les cohortes de ceux que nous sommes obligés de considérer comme des terroristes. Mais nous pouvons certainement cesser d’être les parfaits idiots pour qui certains nous prennent. Nous pouvons interdire cette engeance millénaire, au moins sur notre territoire. Pour cela, il suffit de montrer ce dont il s’agit vraiment — de lois barbares qui sanctifient ce que nos lois, sinon, qualifieraient de crime organisé.

ajm sur precaution.ch

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