Lobby pro-avortement en Amérique latine

Des organisations féministes ont décrété ce jeudi "Journée de la dépénalisation et de la légalisation de l’avortement en Amérique latine et aux Caraïbes". En Amérique latine, la plupart des législations nationales interdisent totalement ou partiellement l’avortement

1 réponse à Lobby pro-avortement en Amérique latine

  1. Deria dit :

    Etant femme et féministe et habitant l’ Amérique Latine je suis totalement pour l’ avortement .Ce choix devrait être un choix de la femme et non de l’ état de l’interdire.
    Je sais de quoi je parle: j’ai connu des femmes qui sont décédées suite à une visite chez la €? faiseuse d’ ange €?.
    Cela est épouvantable pour les femmes , le couple, leur entourage, etc.
    S’il vous plaît, laissez ce choix aux femmes €¦ €¦
    Merci.

    [Moderation: Idem pour le choix de l’enfant. Je sais aussi de quoi je parle, j’ai travaillé dans le domaine social et me suis occupé des filles-mères, le 3/4 des femmes qui revenaient me voir, enceintes, avait pratiqué un avortement en moyenne 7 mois avant, l’avait pour oublier, nettoyer, ce premier avortement qui ne les lâchait pas; putain, j’en ai essuyé des larmes. L’avortement n’est une thérapie pour rien ni pour personne, j’ai vu des vies de femmes dévastée par cet acte irrémédiable, des familles détruites, des enfants tués. La faiseuse d’ange n’est de loin pas l’autre issue, j’ai vu aussi des femmes, que dis-je des gamines de 16 ans que leur amour pour leur enfant avait transformé en lionne et qui, avec un peu d’aide et un peu d’argent, s’étaient construite une existence où le grand amour de leur vie a pu naître, grandir et trouver sa place. Les groupements féministes appellent des fondations comme celle dans laquelle j’ai travaillé, des « groupuscules néo-nazis » (tout en passant leur temps à nous envoyer leurs cas désespérés), parce que nous refusons d’éliminer femmes et enfants à la chaîne, paradoxal. Ces mêmes groupements s’agitent dans les officines pour que nous ne soyons pas subventionnés, alors que nous faisons le travail que l’Etat devrait faire, un vrai travail social pour une vraie situation de détresse. L’avortement est épouvantable, l’avortement fait toujours deux victimes, ce choix ne saurait être le choix de quiconque, la vie qu’on élimine n’est pas celle de la femme que je sache. Ouvrez les yeux et regardez ce que la culture de mort a fait à la femme; qui en est la plus grande victime, celui qui meurt ou celui qui survit ? Le féminisme, le vrai, se trouve ici: http://www.feministsforlife.org/. Laissez les vivre, merci]

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