La gravité de la situation selon Redeker

Interrogé sur Europe 1, Robert Redeker se plaint de l’abandon dont il est victime : "Pour l’instant, le ministère de l’Education nationale ne m’a même pas contacté, n’a pas dénié me contacter, me demander si j’avais besoin d’une aide. [Je suis également] lâché par les syndicats enseignants qui généralement vous félicitent lorsque vous critiquez l’Eglise catholique mais qui sont beaucoup plus réticents lorsqu’il s’agit de critiques contre l’islam. [Je suis] lâché par les politiques locaux".
L’interview audio

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