Une ressortissante Finlandaise vivant en Italie contestait la présence de crucifix dans le salles de classe italiennes. Le Conseil d’Etat Italien a rejeté le recours en jugeant que:
« le crucifix peut dans un horizon laïc exprimer de façon symbolique mais adéquate, l’origine religieuse des valeurs de tolérance, de respect réciproque, de valorisation de la personne, d’affirmation de ses droits, de respect pour sa liberté, d’autonomie de la conscience morale à l’égard de l’autorité, de solidarité humaine, de refus de toute discrimination qui caractérisent la civilisation italienne ».