Des firmes suisses ont participé au programme nucléaire iranien. Tandis que le Conseil de sécurité de l’ONU envisage un projet de résolution assorti de sanctions pour condamner Téhéran, des entreprises helvétiques délivrant, depuis plusieurs années, des technologies sensibles aux pays de «l’axe du mal» sont dans le collimateur du gouvernement de Washington, aux côtés de leurs concurrentes allemandes ou britanniques