Les contre-prêches d’un Voltaire arabe

Dans un ouvrage qui vient de paraître, l’écrivain franco-tunisien Abdelwahab Meddeb, qui vit et enseigne à Paris, appelle l’islam à quitter sa prison théologique.

«Ce n’est pas à l’Europe de s’adapter à l’islam; c’est à l’islam de s’adapter à l’Europe. A l’islam d’apprendre à subir la critique, même la plus offensante, sans en venir au crime de sang pour se défendre. A l’islam d’admettre que les critiques les plus virulentes qui lui sont adressées peuvent se justifier au vu de la contradiction qui s’exacerbe entre l’évolution du monde et la fixité de ses moeurs. Enfin, c’est en Europe que le sujet d’islam doit sentir la part manifestement obsolète de son héritage.»

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2 réponses à Les contre-prêches d’un Voltaire arabe

  1. IGG dit :

    Il fait partie de ces musulmans de carnaval qui s’inventent une religion qui n’a jamais existé. Ment-il ou est-il idiot ? Je ne sais pas. Son discours sert malheureusement à endormir les consciences européennes en présentant un islam tolérant absolument minoritaire. Enfin… sa tolérance ne va pas jusqu’à tolérer ceux qui critiquent l’islam et qui ne sont pas musulmans…

  2. Marie dit :

    Ne pas oublier que les Grecs aussi usaient de la raison – eux qui en furent les maîtres au plus haut point…, mais qu’ils furent laminés par la folie barbare…

    A violence barbare, il faut savoir opposer la violence en réponse, mais toujours dominée par cette raison dont l’absence est le propre de la barbarie.

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