Un peu biaisée l’analyse de Francis Richard! Elle ne mentionne pas le fait que le latin n’est pas interdit
[MOD: On clique sur le lien et on ECOUTE !]
aujourd’hui, qu’il existe un missel de 2002 tout en latin car non encore traduit par les différentes conférences des evêques du monde entier,
[MOD: Amalgame ce n’est pas le propos]
et que le missel de Saint Pie V a été régulièrement et légitimement abrogé par SS le Pape Paul VI
[MOD: 1. Le missel n’a pas été abrogé comme il a été rappelé le 24 juin 2004 à la Basilique Ste Marie Majeure. 2. Si mes souvenirs sont bons, le missel (ou la bulle) de Pie V comporte un triple anathème pour qui modifiera ou touchera quoi que ce soit à cet enseignement… on repasse donc]
Bref, c’est un zéro pointé! D’autant plus que ce n’est pas la fête du XXX permanente qui règne en France en matière de liturgie qu’il faut prendre comme référence mais bien les directives conciliaires qui sont très peu ou pas du tout appliquées dans mon pays.
[MOD: revoilà le bon vieux mythe du « il faut à tout prix revenir au Concile »… c’est comme le communisme, vous avez eu votre temps pour faire vos preuves, c’est un échec, place aux jeunes. Les fameux textes comportent en eux toutes les lacunes nécessaire pour susciter la situation actuelle]
L’hypocrisie continue de régner et le lobbying que poursuit la FSPX n’est pas de nature à l’arrêter. Il faudrait rappeler que comme le soulignait Dom Guéranger: « Quiconque ne reconnait pas l’Eglise pour infaillible doit, s’il est conséquent avec lui même, admettre que le Fils de Dieu a été impuissant à remplir sa promesse, et que l’Esprit de vérité n’est qu’un esprit d’erreur. »
[MOD: Pour les conditions de l’infaillibilité, consulter le Concile Vatican I… oui parce que l’Eglise a existé avant V2]
« BRASSENS EN AFRIQUE est le témoignage de la beauté du métissage culturel. » En ce début de millénaire, l’heure n’est plus au sectarisme culturel………la suite ICI
Je suis satisfait du retour de la messe en latin . Vatican II a été une hérésie, la preuve en est que depuis 1963 c’est la faillite dans l’église catholique qui compte de moins en moins de fidèle (moi le premier) !
Devant aujourd’hui faire face à une concurrence acharnée avec un islam de plus en plus puissant en Europe, il serait plus que temps qu’enfin notre Eglise et surtout ses représentants défendent notre civilisation.
Si la France est la fille Ainée de l’Eglise, je ne veux pas qu’elle devienne un jour la fille de Mahomet !
Il me semblait que le conflit entre concilliaires et traditionnalistes portait sur des points un peu plus importants !
Il faut se souvenir que ce rituel de Pie V n’a été établi- comme un grande part des décisions du Concile de Trente- que comme une réaction à la « messe allemande » de Luther puisque le seul changement qu’opéra Luther fut le remplacement du latin par l’allemand. Par ailleurs, cela permettait à Rome d’asseoir sa doctrine du ministère puisque seuls les clercs connaissaient le latin.
Une dizaine d’évêques de l’Est de la France redoute que l’usage généralisé de la messe de Saint Pie V empêche de nombreux fidèles de s’emm…er
La chronique de Francis Richard
Un peu biaisée l’analyse de Francis Richard! Elle ne mentionne pas le fait que le latin n’est pas interdit
[MOD: On clique sur le lien et on ECOUTE !]
aujourd’hui, qu’il existe un missel de 2002 tout en latin car non encore traduit par les différentes conférences des evêques du monde entier,
[MOD: Amalgame ce n’est pas le propos]
et que le missel de Saint Pie V a été régulièrement et légitimement abrogé par SS le Pape Paul VI
[MOD: 1. Le missel n’a pas été abrogé comme il a été rappelé le 24 juin 2004 à la Basilique Ste Marie Majeure. 2. Si mes souvenirs sont bons, le missel (ou la bulle) de Pie V comporte un triple anathème pour qui modifiera ou touchera quoi que ce soit à cet enseignement… on repasse donc]
Bref, c’est un zéro pointé! D’autant plus que ce n’est pas la fête du XXX permanente qui règne en France en matière de liturgie qu’il faut prendre comme référence mais bien les directives conciliaires qui sont très peu ou pas du tout appliquées dans mon pays.
[MOD: revoilà le bon vieux mythe du « il faut à tout prix revenir au Concile »… c’est comme le communisme, vous avez eu votre temps pour faire vos preuves, c’est un échec, place aux jeunes. Les fameux textes comportent en eux toutes les lacunes nécessaire pour susciter la situation actuelle]
L’hypocrisie continue de régner et le lobbying que poursuit la FSPX n’est pas de nature à l’arrêter. Il faudrait rappeler que comme le soulignait Dom Guéranger: « Quiconque ne reconnait pas l’Eglise pour infaillible doit, s’il est conséquent avec lui même, admettre que le Fils de Dieu a été impuissant à remplir sa promesse, et que l’Esprit de vérité n’est qu’un esprit d’erreur. »
[MOD: Pour les conditions de l’infaillibilité, consulter le Concile Vatican I… oui parce que l’Eglise a existé avant V2]
« BRASSENS EN AFRIQUE est le témoignage de la beauté du métissage culturel. » En ce début de millénaire, l’heure n’est plus au sectarisme culturel………la suite ICI
Brassens était athée et rebelle,alors tu parles de la messe en latin !!!!
Je suis satisfait du retour de la messe en latin . Vatican II a été une hérésie, la preuve en est que depuis 1963 c’est la faillite dans l’église catholique qui compte de moins en moins de fidèle (moi le premier) !
Devant aujourd’hui faire face à une concurrence acharnée avec un islam de plus en plus puissant en Europe, il serait plus que temps qu’enfin notre Eglise et surtout ses représentants défendent notre civilisation.
Si la France est la fille Ainée de l’Eglise, je ne veux pas qu’elle devienne un jour la fille de Mahomet !
Il me semblait que le conflit entre concilliaires et traditionnalistes portait sur des points un peu plus importants !
Il faut se souvenir que ce rituel de Pie V n’a été établi- comme un grande part des décisions du Concile de Trente- que comme une réaction à la « messe allemande » de Luther puisque le seul changement qu’opéra Luther fut le remplacement du latin par l’allemand. Par ailleurs, cela permettait à Rome d’asseoir sa doctrine du ministère puisque seuls les clercs connaissaient le latin.