Oui…, ce qui est lamentable, c’est que c’est gens-là sont abandonnés du pouvoir, et n’ont d’autre solution que la soumission à la « vie de quartier » qui n’est autre chose qu’une vie de gang…
L’élément qui me paraît essentiel est la violence qui habite et habille la plupart des gestes, des expressions de ces jeunes gens. Une violence presque toujours totalement inutile dans le contexte, contre-productive. C’est l’effet de la peur distillée par l’Islam – peur d’un Dieu de vengeance, mais aussi des autres, dont chacun sait qu’ils se sentent et se veulent tous l’instrument de cette vengeance, car c’est ainsi qu’on plaît à Allah, en imposant sa loi. Et plus on est violent, plus on est récompensé. Le mieux est d’en mourir: le meilleur du paradis d’Allah est réservé à ceux qui meurent au combat pour sa cause.
C’est une sorte de retour à une utilisation prémoderne, animale, de la violence. C’est une régression vers la barbarie.
Ouh là, quels dégâts. Il y en a deux que j’ai retenu. Celui avec le casque sur les épaules qui disait qu’il avait voulu goûter, pour voir, et qui faisait remarquer que d’autres qui donnaient des leçons de morale anti-cochonailles ne cherchaient pas à faire le bien. Relisez les Evangiles, il y a exactement ce cas de figure (Respect de la lettre ou de l’esprit de la Loi divine). L’autre quidisait qu’en bled, il n’était pas chez lui. En France, il n’était -pas encore- chez lui. Mais qu’à la cité, c’était chez lui, et qu’il devait dont absolument en respecter les codes.
C’est dramatique d’avoir réussi à ghettoïser ainsi des gens avec lesquels on pourrait finalement s’entendre mieux qu’avec certains « bons Français ».
Oui…, ce qui est lamentable, c’est que c’est gens-là sont abandonnés du pouvoir, et n’ont d’autre solution que la soumission à la « vie de quartier » qui n’est autre chose qu’une vie de gang…
__c’est que c’est gens-là sont abandonnés du pouvoir,__
Ils ne sont abandonnés par personne, et surtout pas par le pouvoir qui déverse des milliards d’euros des francais sur ces banlieues.
encore une fois, les XXX de cité ont la parole. Les Français en ont marre de ces mecs là que nous ne voulons plus sur notre territoire.
L’élément qui me paraît essentiel est la violence qui habite et habille la plupart des gestes, des expressions de ces jeunes gens. Une violence presque toujours totalement inutile dans le contexte, contre-productive. C’est l’effet de la peur distillée par l’Islam – peur d’un Dieu de vengeance, mais aussi des autres, dont chacun sait qu’ils se sentent et se veulent tous l’instrument de cette vengeance, car c’est ainsi qu’on plaît à Allah, en imposant sa loi. Et plus on est violent, plus on est récompensé. Le mieux est d’en mourir: le meilleur du paradis d’Allah est réservé à ceux qui meurent au combat pour sa cause.
C’est une sorte de retour à une utilisation prémoderne, animale, de la violence. C’est une régression vers la barbarie.
Ouh là, quels dégâts. Il y en a deux que j’ai retenu. Celui avec le casque sur les épaules qui disait qu’il avait voulu goûter, pour voir, et qui faisait remarquer que d’autres qui donnaient des leçons de morale anti-cochonailles ne cherchaient pas à faire le bien. Relisez les Evangiles, il y a exactement ce cas de figure (Respect de la lettre ou de l’esprit de la Loi divine). L’autre quidisait qu’en bled, il n’était pas chez lui. En France, il n’était -pas encore- chez lui. Mais qu’à la cité, c’était chez lui, et qu’il devait dont absolument en respecter les codes.
C’est dramatique d’avoir réussi à ghettoïser ainsi des gens avec lesquels on pourrait finalement s’entendre mieux qu’avec certains « bons Français ».