Le fameux respect de l’Islam
pour le Christianisme

Supporteuses du Parti de la Félicité, hier à Istanbul.

5 réponses à Le fameux respect de l’Islam
pour le Christianisme

  1. Marc dit :

    « Jésus n’est pas le fils de Dieu. Il est un prophète de l’Islam » peut-on lire sur la pancarte.

    Un sophisme typiquement musulman : comment N.S.J.C. aurait-il pu être le prophète d’une religion qui n’existait pas encore !?

    Un petit lien, avec une page où l’on parle de cette affirmation saugrenue (faites rechercher « Jésus » 2 fois de suite) :
    http://www.coranix.com/pro_islam/forum_dialogue2.htm

  2. Bouju dit :

    Jésus est considéré par « l’islam » comme un précurseur de Mahomet. Comme Saint Jean Baptiste qui a annonçé le Christ Sauveur. Jésus a bien prophètisé l’islam , mais c’est quand Il a déclaré » « Il viendra de faux sauveurs, et de faux prophètes ». Il y a un abîme infranchissable entre le Jésus « chrétien » ,Vrai Dieu et vrai homme,Verbe de Dieu incarné, et le « Jésus musulman ». Désolé pour les amateurs de compromis. Merci

  3. ajm dit :

    Mouais. Mais rappelons tout de même en passant que Jésus, en fait, était un Juif, et même un rabbin.

  4. N B C dit :

    Les musulmans ne respectent absolument pas les chrétiens, ils les considérent comme faibles, non dangereux car ils pardonnent et rejettent la violence vengeress. Pour les musulmans, comme pour les juifs, les chrétiens sont des esclaves à soumettre ….

  5. ajm dit :

    Les Chrétiens ne sont des esclaves ni pour les Musulmans, ni pour les Juifs.

    Pour les Musulmans, ils doivent être non pas réduits en esclavage, mais séparés et systématiquement défavorisés. Le fait est avéré. Il a été constitué en loi (dhimma) que la communauté musulmane n’a jamais reniée. À ce jour. Si cette loi n’est plus appliquée, c’est parce que d’autres autorités, non musulmanes, l’ont abrogée après la faillite du projet islamique.

    Quant aux Juifs, rappelons que ce type de procès d’intention était très commun dans l’Europe socialisante des années 1930. Et qu’il l’est toujours, et de plus en plus, dans le monde arabo-musulman actuel. Où la dhimma redevient d’ailleurs aussi d’actualité.

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