Missives, coups de fil, le préfet de la Sarine Nicolas Deiss (une flaque de la trempe de son frère) subit des pressions depuis qu’il a confirmé au «Matin» qu’il devra trancher dans l’affaire de l’internat islamique en pleine ville.
Une bonne dizaine de lettres en quelques jours seulement. Sans compter les appels téléphoniques et les gens qui l’abordent dans la rue. Ecouter le peuple, ce serait une idée non ?