Une étude dirigée par le criminologue Martin Killias met en lumière le rôle central de ces dernières dans les drames familiaux et les suicides en Suisse. «Ces chiffres dépassent largement mes prévisions», déclare M. Killias samedi dans la Berner Zeitung.
Quand on voit le drame que fait la presse chaque fois que le moindre pékin se casse un ongle avec son couteau suisse, les résultats de cette étude paraissent très improbables… Arrêtons de prendre le populo pour de journalistes suisses !