Quand on est français, la discrimination positive, ça consiste à embaucher des français de souche (et j’inclue aussi les antillais qui d’ailleurs n’ont jamais eu besoin d’une quelconque « discrimination positive » pour être appréciés par les métropolitain et pour trouver du boulot).
Quand on est français, la discrimination positive, ça consiste à embaucher des français de souche (et j’inclue aussi les antillais qui d’ailleurs n’ont jamais eu besoin d’une quelconque « discrimination positive » pour être appréciés par les métropolitain et pour trouver du boulot).