Un Fribourgeois s’encanaille chez Le Pen pour se faire vibrer

« J’avais des frissons, même si c’était de la propagande ». Cela dit, on ne le dit pas parce que c’est mal poli, mais le dzozé en question semble en avoir tous les attributs, dont la tête, principalement. ->

1 réponse à Un Fribourgeois s’encanaille chez Le Pen pour se faire vibrer

  1. LoveitOrLeaveIt dit :

    ça me rappelle un épisode de ma vie estudiantine.

    J’étais allé voir Le Pen il y a une vingtaine d’années dans un grand meeting dans le Nord de la France avec un copain (devenu dir. de l’archéologie d’un canton). Spectacle électrisant. Mon copain m’a avoué « Je ne suis jamais autant amusé ».

    On pouvait reconnaître les journalistes en sortant : ils tiraient tous la tronche en petit groupe autour de leurs cars.

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