«La mixité fait disparaître la violence en ville»

Bernard Racine, professeur à l’UNIL depuis 1973, prend sa retraite. Cet amoureux de la ville a marqué une génération de chercheurs et de politiciens. Conférence d’honneur publique ce soir. ->

A mon sens, il est impératif que les villes affichent une très grande diversité. Celle-ci doit se retrouver dans chaque quartier: variété d’activités, mais aussi de niveaux sociaux et de nationalités. Associé à une densité suffisante, c’est le seul moyen d’éviter la violence urbaine. Un excellent exemple de ceci est le marché du samedi matin: une population extrêmement mixte s’y côtoie, et personne ne se sent étranger. Cette sensation d’une propriété collective de la ville devrait exister partout.

21% d’étrangers responsables de 52% des actes criminels, ghettoïsation inévitable, démographie musulmane exponentielle et 20 ans d’échec de cette politique niaiseuse et dégoulinante de bien-pensance et l’on trouve encore des neuneux prof d’uni pour nous chanter que tout va très bien Madame la Marquise et que l’on n’est allé assez loin dans le processus obligatoire d’intégration. La génération 68 n’en finit plus de crever !