A Vitry-sur-Seine, le 4 octobre 2002, Sohane Benziane, 17 ans, est brûlée vive dans un local poubelle après avoir été aspergée d’un litre d’essence par Jamal Derrar, une racaille de la cité qui voulait l’intimider. La pauvre fille meurt deux heures après.
Décrire l’horreur du fait divers est pourtant loin d’être suffisant. Est-ce le geste d’un dégénéré particulièrement atteint ? Que nenni :
• Les forces de l’ordre intervenant pour sauver Sohane sont accueillies par des insultes et des jets de pierres.
• Les jours suivants, une collecte a lieu dans la cité pour organiser la défense de la petite frappe qui a brulé la gamine.
• Lors des manifestations qui suivent, de nombreuses filles se cachent derrière les banderoles pour ne pas être reconnues, de peur de représailles.
• Lors de la reconstitution des faits sur les lieux du drame, le criminel est acclamé.
• La stèle posée à Vitry, régulièrement détruite par les « jeunes » de la cité, a dû être transférée au cimetière Montparnasse. (1) – (2)
Célébrons donc à cet occasion le multi-culturalisme qui donne à l’Europe tant de motifs de réjouissance… – PM