Berne: Les UDC sous le choc

Deux jours après le « choc des cultures », les UDC font le compte des bobos. La presse veut faire croire à une géniale manipulation des Démocrates du centre, le fait est que, dans la réalité, côté UDC, on ne s’y attendait pas…

Ci-dessous, un des nombreux témoignages qui circulent sur le net. N’hésitez pas à nous communiquer vos expériences en commentaires:

« Mon Ami,

Navré de n’avoir pu rejoindre les fribourgeois au Bärengraben, les explosions m’en ont empêché.

J’ai assisté aux destructions de la Bundesplatz et à la fuite des policiers nous ordonnant de foutre le camp (« weg, weg!« ).

J’ai été gazé à la Gerechtigkeitsgasse et pris la fuite au coté des casseurs ayant enlevé leur foulard noir mais ayant tous un pavé dans la main.

J’ai vu le défilé victorieux des trotskistes, tambours en tête, devant le Palais fédéral complètement laissé à l’abandon.

Est-ce la fin de la Confédération helvétique ?

Cordialement.

5 réponses à Berne: Les UDC sous le choc

  1. Benoît dit :

    Je voulais y aller avec ma femme, mais celle-ci étant enceinte elle m’a persuadé de remettre cela à une autre fois.
    Ce qui me choque le plus dans toute cette histoire, c’est que l’on a laissé des sauvages gauscistes lancer des bouteilles et des pavés sur un cortège comportant un grand nombre de femmes et d’enfants. Pas un mot dans la presse à propos de ces enfants terrorisés qui croyaient aller à une fête sympa et manger un petit quelque chose sur la place fédérale, le tout en musique.
    Oui, dégoûté!
    C’est le travail de la police qui me fait vomir. Des nains!
    Si la même chose était arrivée un un cortège gausciste, nous aurions vu des photos d’enfants pleurer dans toute la presse ce matin.
    Des amis ont vraiment eu peur pour leurs familles. C’est vrai, c’est un gros complot, comme la presse le fait remarquer ce matin: nous amenons nos enfants dans l’espoir qu’ils se fassent tuer par un pavé, c’est bon pour le parti!
    Les autorités de gausche de la ville de Bern au sciemment laissé faire, après tout, ce n’étaient que des enfants de fachos…
    Dégoûté!
    Allons tous voter!

    [MOD: Et payez-vous enfin un média ! Le Baf est là mais sans blé… pas de pain quotidien]

  2. Jean dit :

    « MOD: Et payez-vous enfin un média ! Le Baf est là mais sans blé… pas de pain quotidien]  »

    On ne demande que ça de faire quelques virements de temps en temps (j’ai souvenir d’avoir déjà demandé votre adresse paypal ou autre)….encore faudrait t’il qu’elle soit affichée quelque part,sous la rubrique « soutenir le Baf « par exemple.

    Par ailleurs,
    Bravo encore pour votre travail!

    Jean

    [MOD: rhoooo, on prend son joli mulot et on descend en bas à droite… Faire un don]

  3. Marc Podui dit :

    Où que ce soit sur la planète, et en particulier en Europe, les gauchistes sont synonymes de déni de démocratie, du refus de la liberté de conscience et de la violence plus ou moins visible.

    Et toujours, ce sont les patriotes qui sont désignés à la vindicte, aidés par tout le « système ».

    « Ce sont des gauchistes qui cassent tout dans les rues ? Mais, chers amis, c’est pour préserver notre liberté. » nous explique-t-on avec un aplomb, un toupet proprement hallucinant.

    Je suis persuadé que les patriotes suisses sont assurés du soutien des patriotes français, dont je fais partie.

  4. jipe dit :

    priez saint nicolas de flue qui est à l’origine de cette belle suisse qu’on veut détruire par le gauchisme marxisant,détruire sa foi et sa croix !

  5. Lucky dit :

    On a vu à nouveau les « arguments » et la politique de la gauche. Comme d’habitude ils coûtent chers au pays, très chers même. Au citoyen d’en tirer les conclusions par les votes, seule réponse valable et finissons-en avec ces irresponsables dangereux qui n’aiment que le désordre, l’anarchie et la casse.

    A la police fédérale, demandons de retrouver ces « petites vedettes » du téléphone portable-vidéo, de les arrêter, de les répertorier et surtout de « déconnecter » le systême. Aujourd’hui, avec de petits moyens c’est très facile. Il ne faut pas en rester là . La réponse du berger à la bergère, adieu les noirs moutons.

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