Suisse: Dans un mois, l’imam devra parler français

Dès l’an prochain, les personnes assurant un encadrement religieux devront s’exprimer dans la langue usuelle de l’endroit où ils exercent. Un effet des nouvelles lois sur l’asile et les étrangers.

Ali Mohamed, imam du centre islamique de Crissier (devant), ne connaît que les rudiments du français. Il a besoin des services du traducteur Mostafa Brahami, un fidèle (derrière), pour se faire comprendre. Pourtant en cas de crise, pour les autorités, c’est lui qui représente la communauté. ->