Freysinger-Falotti: Ma réponse à la censure socialiste

Le Parti socialiste du Valais romand n’aime pas la répartie. Mon commentaire à l’une de leur énième embardée outrancière n’aura pas duré trois minutes.

Vous retrouverez ci-dessous texte et printscreen, pour archives, contre la censure et pour en finit une bonne fois pour toute avec ces pratiques.

« Il convient sans doute d’éclaircir certains points. Outre une vision tout à fait vraisemblable du « socialisme » et du « gauchisme » (https://www.rts.ch/…/8207823-la-polemique-enfle-en…), qu’est-il reproché à M. Falotti sinon celle, pour le moins cynique et froide, du darwinisme social que le PS s’emploie à imposer en Suisse depuis au moins les années 70 ? Ce monsieur regrette que l' »on sauve les malades, les handicapés, tout ce qu’on veut », le PS ne fait pas autre chose.

Faut-il vraiment rappeler l’engagement indéfectible des socialistes pour dépénaliser l’avortement jusqu’au neuvième mois au seul motif d’une « détresse profonde » qui ne se définit pas légalement d’un point de vue médical (art. 119 al. 1 CP) ? Avortements et avortement tardifs qui ont pour but principal d’éradiquer les bébés handicapés de la surface du globe. En Suisse, 90% des trisomiques 21 sont sacrifiés sur l’autel de la morale socialiste (http://www.rts.ch/…/6213378-le-nombre-d-avortements…). Que dire encore du silence coupable de ce parti devant les exactions d’associations telles qu’Exit, qui obtient partout le droit d’euthanasier des dépressifs au simple motif d’une « polypathologie invalidante », entendre… une vieillesse (et faut-il évoquer les documents de la Commission nationale d’éthique en faveur de l’euthanasie des enfants dès 10 ans ?).

Je passe évidemment outre l’acharnement du PS à tenter de tout faire pour permettre à des pédophiles condamnés de pouvoir retravailler un jour avec des enfants, mais elle participe selon moi de cette disposition méprisante et prométhéenne du vivant, du faible, de l’enfant, en un mot de l’homme.

Enfin, renseignez-vous 5 minutes sur la nature du fascisme, vous aurez quelques surprises: Recours absolu et systématique à l’Etat, extinction des libertés et initiatives privées, moralisme dominant, exigence de soumissions inconditionnelle des adhérents, communication violente et revendicatrice, culture belliqueuse, clientélisme, persécution continuelle des opposants, haine et rejet de tout ce qui ne lui est pas soumis, stigmatisation, privation de l’accès à l’emploi pour les dissidents, puis incarcération voire peine capitale. Peine capitale visant d’ailleurs, le plus souvent, au début, les pauvres, les vieux, les malades et les handicapés… l’histoire ne manque pas d’exemples.

Mme Waeber-Kalbermatten qualifie cela d' »appel à la haine qui vise à détruire les plus faibles », elle a bien raison. Ce qui est choquant ici, ce n’est pas tant que M. Falotti le dise, mais bien que le PS l’ait fait.

Alors, chers amis socialistes, c’est un pays tout entier qui attend vos excuses, et depuis longtemps croyez-moi… »

Adrien de Riedmatten

censure-socialiste

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