Montage médiatique: Plainte contre Stéphane Rossini

M. Stéphane Rossini ayant choisi de se prêter aux sollicitations appuyées du Nouvelliste pour tirer d’une critique amusée des pratiques liberticides et profondément antidémocratiques de son parti – critique au contexte sans le moindre équivoque possible -, une accusation d’incitation au meurtre, s’est rendu, ce faisant, vraisemblablement coupable de calomnie et d’une instrumentalisation abusive de la justice à des fins strictement publicitaires, qui plus est en période d’élections.

M. Rossini n’a rien en main sinon le discrédit qu’il jette à l’aveugle pour livrer un opposant – un candidat suppléant en première tentative, mon Dieu quel trophée quand on a régné sur la Suisse -, à la vindicte de ses partisans.

Il paraît évident que M. Rossini doit prendre conscience des conséquences de telles accusations et rencontrer enfin cette chose étrange qui paraît tant choquer à gauche, la réalité.

Je ne me laisserai pas harceler par un caïd de cour de récré, aussi puissant soit-il, aussi étendu que son réseau puisse être dans la presse locale ou au diable Vauvert. M. Rossini va devoir affronter le droit inaliénable de tout un chacun de critiquer et de moquer la secte ridicule qui lui sert de parti et qui croit pouvoir faire du noble peuple valaisan un troupeau d’esclaves dociles rangés aux ordres de Mme Lanthemann.

Révolution conservatrice ! Comme dirait l’autre.

Adrien de Riedmatten

Candidat insoumis

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