On connaissait l’affaire Luca, l’histoire de ce type qui n’a pas été élu et sera quand même procureur, voilà l’affaire LC, des initiales d’un homme condamné dans une affaire trouble, et qui va recevoir de l’argent de sa victime. Une sale histoire, qui pue la protection rapprochée à plein nez et plonge ses ramifications au cœur du parti socialiste valaisan.
Fraîchement élue, la socialiste Camille Rey-Mermet, présidente de la Cour civile, a miraculeusement sorti d’affaire, en appel, l’un de ses coreligionnaire à qui un gosse de cinq ans réclamait réparation, au civil, des suites de sa condamnation au pénal. Treize pages dans un français relatif, un charabia à peine lisible, pour faire comprendre, en fin de compte, que la justice n’est pas la même pour tous. Malheur aux vaincus !
Aujourd’hui, en Suisse, une femme de 47 ans, qui chapitre son monde, devant une presse respectueuse, sur la nécessité de « préserver l’enfant », a volé au secours d’un homme qui fait tout le contraire. L’importance exagérée de cet appareil défensif, cette façon de ramer à contre-courant d’évidences criardes, et qui n’est pas sans rappeler les excès rencontrés dans certaines grandes affaires de pays voisins, tout cela, forcément, interroge.
Pour la petite histoire, un chef de section de son parti, qui a pignon sur rue en ville de Sion, s’était également fourvoyé dans cette affaire en s’associant, en pleine connaissance de cause, à cette sombre initiative. Il convenait donc d’intervenir pour sauver le parti. Voilà les priorités de la justice valaisanne.
Il y a, ici comme ailleurs, des forces de l’ombre, qui ont pour objectif l’ultime frontière de la morale, la pureté de l’enfant. Des forces qui ont investi des ressources considérables pour faire main basse sur l’avenir du genre humain. Des forces qui ont les moyens de faire condamner les innocents et acquitter les coupables.
Une histoire longue, un réseau complexe, initié, qu’il faudra tâcher de comprendre et d’expliquer pour l’éliminer.
A suivre…
NM