La NZZ du jour nous prête des intentions malhonnêtes: Truc, manipulation, astuce, envie-de-passer-à-la-télé.
A force de manipuler leur lectorat depuis plus de 150 ans, on comprend qu’ils aient du mal à considérer une réaction toute simple, sans autre but que de s’interroger, de la même manière que ferait une ménagère en face de son entrecôte, sur la provenance et les garanties éthiques de certaines "oeuvres d’art" qui garnissent les rayons de nos musées.
Las, on ne vous dira pas à quel grand groupe financier le groupe NZZ est étroitement affilié.
Les médias au peuple, les banquiers à la lanterne!