New-York Times: Un nouvel article de propagande à la gloire du préservatif s’émerveille de ses capacités fraîchement découvertes à protéger contre le papillomavirus humain; un joli nom pour une vilaine bébête qui touche essentiellement les femmes.
La construction de l’article est on ne peut plus un classique du genre: Une nouvelle étude révèle que les couples utilisant un préservatif lors de tous les rapports ont un taux d’infection réduit de moitié en comparaison de ceux ne l’utilisant que 5% du temps… Woah! CQFD, miracle total, le plastique c’est fantastique et tout le tintouin…
Si je lis bien, le seul avantage de chausser cet espèce de ciré malséant – vendu dans toutes les bonnes classes d’éducation sexuelle comme LA protection, l’écran total et absolu, pour toutes les maladies honteuses des trois derniers siècles – à l’extrémité de sa virilité, serait de limiter le risque… de moitié ?
Si on ajoute à cela que l’OMS lui-même reconnaît audit préservatif un taux d’échec de 10 à 14 % pour la prévention des grossesses et de 1% pour celle du Sida (l’Institut national des maladies infectieuses américain va jusqu’à 15%), que les normes ISO européennes et Label OK Suisse tolèrent des taux d’échec de 3,5%, que certaines marques en vente en Suisse, avec le Label OK, ont révélé 9,5% d’échec… On en vient presque à se demander si la culture qui tourne autour du préservatif, et le préservatif lui-même, ne sont pas purement et simplement responsables de la propagation toujours en augmentation des maladies sexuellement transmissibles et de la réappartition de pathologies vénériennes d’un autre âge, et, surtout, si la solution "risque 0" ne tiendrait pas, par le plus grand des hasards, dans les propositions, pourtant fort combattues de nos jours, de l’Eglise catholique, à savoir: Respect mutuel, fidélité, chasteté.
Et si on faisait la statistique de la prévalence d’infection du Sida chez les catholiques pratiquants, juste pour voir ?