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"Dans ce milieu clos de pensionnats religieux, les gosses sont sous contrôle absolu, ce qui facilite les viols. C’est de notoriété publique qu’il y a des mollahs pédophiles, toutefois, personne n’en parlera. Une culture de l’impunité s’est établie. Et comme notre justice fonctionne avec les pots-de-vin et les réseaux d’influence, les mollahs sont donc rarement condamnés", déclare un analyste basé à Islamabad.
Le quotidien français Libération brosse un tableau alarmant du sort des enfants en terre d’Islam.
Le Paradis musulman promet, sourate 52, verset 24, des: "garçons à leur service [des pieux], pareils à des perles bien conservées", ainsi que des "garçons éternellement jeunes. Quand tu les verras, tu les prendras pour des perles éparpillées", sourate 76, verset 19.
"Un homme peut avoir du plaisir sexuel avec un enfant aussi jeune qu’un bébé. Cependant, il ne doit pas le pénétrer. S’il le pénètre et que l’enfant est blessé, il sera alors responsable de sa subsistance pour le restant de sa vie. Toutefois, cette fille (si c’est une fille!) ne comptera pas en tant qu’une de ses quatre épouses permanentes. L’homme ne sera pas apte à épouser la soeur de la fille". Ayatollah Khomeini in Tahrirolvasyleh, Fourth Edition, Darol Elm, Qom.
D’autres lumières du grand Ayatollah sur la zoophilie, la coprophagie et autres pratiques peu ragoûtantes sur le site du Homa Farabi.
L’article de Libé n’est pas sans rappeler les premiers missionnaires jésuites (ou recollets) en Asie, qui, au détriment d’une interdiction formelle et au péril de leur vie (on compte d’ailleurs un certains nombre de martyrs), avaient choisi de se rendre prioritairement dans la zone interdite du Tibet après avoir eu vent de semblables traitements envers les pensionnaires des lamasseries. Et aujourd’hui, pourrait-on demander, où en est-on?
Voir le site du Dr. Homa Farabi