Connaître de l’islam: Mahomet et les femmes

La première femme de sa vie, sa mère, Amina, meurt quand il n’a encore que 5 ou 6 ans.
Première épouse, une jeune et riche veuve, Khadija, sorte de petite "cheffe" d’entreprise, ce qui laisse songeur quant à la situation de la femme avant l’islam. Considérée comme la première croyante par les musulmans, elle croit dans les visions de son mari, l’encourage et lui apporte l’indépendance financière. Ils vivent heureux. Elle meurt en 620.
Les biographes rapportent le grand chagrin du "prophète", lequel, cependant, se remarie aussitôt avec Sawda bin Zama, à laquelle il adjoint bientôt la belle Aïcha, âgée de… 9 ans; le bel âge…

Entre une multitude de concubines, Mahomet, en 625, choisit Kihana, une jeune juive; amusant

Puis vint Hamsa, fille d’Omar, le deuxième calife, fort cultivée selon la tradition, sachant lire et écrire; amusant là aussi, Zaynab bin Khouzayma, veuve d’un guerrier, Oumm Salama, veuve de l’un de ses cousins, Zaynab bin Jahsa, que Mahomet avait lui-même mariée à Zayd, un jeune esclave qu’il avait affranchi et adopté. Le "vent" aurait soulevé les voiles protégeant la pudeur de la belle Zaynab, ce qui troubla le "prophète". Peu de temps après, Allah ordonnait à son "prophète" de prendre Zayb comme épouse lui révélant qu’"il n’y a pas de faute à reprocher aux croyants au sujet des épouses de leurs fils adoptifs quand ceux-ci ont cessé tout commerce avec elles". La liste continue: Jouwayriyya, un butin pris à la tribu des Banou Moustalik, Oumm Habiba, mariage diplomatique en vue de prendre la Mecque, Safiyya bin Hoyayy, une autre juive (décidément), dont les deux premiers maris avaient été exécutés par le troisième et, last but not least, Maymouna bin Harit, diplomatie et lubricité sénile.

La tradition ne compte plus les concubines, quelques noms ont subsisté, Maryam, une copte, et Rayhan, une juive… encore.

Pédophilie, inceste, adultère, incontinence, polygamie, meurtre, mensonge et vidéo, le "modèle" réparateur que certains calotins barbus voudraient apporter en remède à l’Occident décadent. Non merci, ça ira, on décade très bien tout seul, bonjour chez vous !

Découvrez l’islam dans:  L’islam sans complaisance, de Bernard Antony

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