AFP: "Nous alertons l’opinion publique sur la gravité de cette décision et nous soulignons de nouveau l’importance fondamentale des enjeux socio-éthiques et bioéthiques de ce débat pour l’Europe de demain", concluent les évêques en prévision de la seconde lecture au Parlement européen à l’automne. "Traiter un embryon humain comme un sujet de recherche n’est pas compatible avec la dignité humaine", insistent-ils.