Entre la subversion et le mensonge

De plus en plus, les Musulmans européens, sans doute encouragés en cela par leurs «frères britanniques», laissent transparaître en public le langage (copie) qu’ils adoptent régulièrement en privé:

Les Musulmans doivent savoir qu’aucun parti européen ou autrichien n’est de leur côté. Il est aussi du devoir de chaque Musulman de savoir que la participation à ces élections est islamiquement prohibée, quel que soit le parti pour lequel on vote.

ou encore

Nous recommandons continuellement au gouvernement autrichien et aux politiciens du pays de ne pas se faire des ennemis des Musulmans. (…)

Ce n’est pas bien malin de compromettre sa sécurité par ses propres actes.

C’est là ce que lisent les Musulmans autrichiens en visitant le site de La Jeunesse islamique autrichienne. Cet appel au boycott des élections et ces menaces à peine voilées ont été signalés par la presse à l’Office fédéral de la protection de la constitution et de la lutte contre le terrorisme (BVT), qui mène son enquête. Le cas pourrait ensuite être porté à l’attention du procureur fédéral.

Déjà, une autre association islamique, la Jeunesse musulmane, s’engoufre dans la brèche pour clamer qu’elle est «ouverte à la démocratie».

Que faut-il croire? L’Islam interdit-il aux Musulmans de voter dans nos pays, ou est-il ouvert à la démocratie? Et s’il est les deux, laquelle de ces deux branches a le plus de chances de s’imposer parmi une population résolument musulmane?

La Cour européenne des Droits de l’Homme, pour sa part, a tranché. Selon son jugement du 31 juillet 2001, confirmé par la Grande Chambre le 13 février 2003, l’Islam est incompatible avec la démocratie. Il faut choisir.

ajm sur precaution.ch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *