Les exigences outrancière de la Commission Fédérale sur le Racisme: Le 1er septembre dernier a publié un rapport intitulé "Les relations avec la minorité musulmane en Suisse", David Vaucher, Secrétaire des Jeunes UDC-Vaud, réagit
La CFR islamisante
Elle demandait la levée de l’interdiction de l’abattage rituel en 2002. Elle s’indignait devant les affiches de l’UDC sur la naturalisation facilitée en 2004. Elle s’était opposée à tout durcissement de la loi sur l’asile en 2005. Elle est une Commission dépendant du Département Fédéral de l’Intérieur donc vivant à la charge du contribuable. Mais qui est-elle ? La Commission Fédérale contre le Racisme, bien sûr !
L’organisme en question vient juste d’émettre un rapport dont le but est de promouvoir la lutte contre l’islamophobie [une race !? ndlr] ; celui-ci comporte une série de 23 recommandations. Où est le problème ? Le contenu desdites recommandations ! En voici quelques extraits :
« 9. L’approvisionnement en viande halal (abattage rituel) doit être assurée pour la population musulmane pratiquante. »
Il s’agit d’égorger à vif le bétail et de le laisser mourir après une longue agonie. Ce traitement est inhumain et indigne du monde civilisé. La production de viande halal ne respecte souvent pas les règles d’hygiène alimentaire. Son importation pénalise notre agriculture et pollue car consomme une forte quantité de pétrole pour son acheminement.
« 10. Le règlement de construction et les plans de zones doivent être interprétés avec souplesse pour permettre la construction de centres religieux et de bâtiments de culte.[…] »
En vertu du droit, la mise à l’enquête précédant toute autorisation de construire peut aboutir à un refus. La Suisse recèle aujourd’hui plus d’une centaine de mosquées. Il n’est pas nécessaire d’en bâtir davantage étant donné que les musulmans sont tout à fait capables de se déplacer, ne se voyant ni refuser l’accès aux routes ni aux transports en commun. Les minarets, quand à eux, sont un important facteur de trouble de l’ordre public car ils démontrent la présence imposante de la religion musulmane ; en outre, ils créent de fortes nuisances sonores.
« 14. Les entreprises doivent garantir le libre exercice de la religion et le permettre par des mesures appropriées. »
Le Coran est très contraignant en ce qui concerne la vie de tous les jours : le fidèle doit prier 5 fois par jour, jeûner toute la journée pendant le mois du Ramadan et se rendre tous les vendredis dans une mosquée. Adapter le marché du travail au Diktat du Coran nécessiterait de faire bénéficier un type de personnes de plusieurs pauses supplémentaires au cours d’une journées de travail, d’un congé garanti le vendredi en plus du dimanche et, par-dessus le marché, d’une baisse de productivité durant le mois du Ramadan due à une carence alimentaire (une étude du Bureau International du Travail prouve qu’une mauvaise alimentation peut entraîner une baisse de productivité d’un employé allant jusqu’à 20% !). Dans son rapport, la CFR reproche à certains employeurs de refuser l’autorisation à porter le voile islamique à leurs collaborateurs, c’est surtout le cas lorsqu’il y a contact avec la clientèle, or tout patron est en droit d’exiger une tenue vestimentaire correcte de la part de ses employés. Une telle adaptation du marché du travail engendrerait des injustices notoires dont seraient victimes les non musulmans au profit des musulmans. Inacceptable au sein de la Confédération Helvétique, mais concevable dans une hypothétique « République Islamique Helvétique ».
« 17. Il faut créer des chaires d’enseignement islamique dans les universités publiques. »
Les universités sont financées par les cantons et la Confédération. Il est honteux de demander à ce que l’argent du contribuable serve à enseigner l’islam et à former les mêmes imams qui appelleront au « jihad », combattront la démocratie et réclameront le droit de lapider les femmes sur nos terres (tel le cas de Hani Ramadan et de l’imam de Bâle).
« 18. Il faut adapter l’enseignement scolaire à la réalité multireligieuse des écoles d’aujourd’hui. Cela peut toucher l’organisation des écoles, les programmes ainsi que les moyens didactiques et la conception des disciplines.
« 19. Il faut encourager sans discrimination l’enseignement religieux dans les locaux de l’école en prévoyant l’infrastructure nécessaire. »
Les revendications de la CFR sont claires : que l’islam soit toujours enseigné aux frais de la princesse, mais cette fois-ci dans nos écoles publiques, que le port du voile y soit autorisé et que les dispenses de cours pour motifs religieux y soient accordées. Ne ferions nous pas mieux de miser sur l’instruction civique, enjeux de taille dans une démocratie directe plutôt que d’endoctriner la jeunesse avec une philosophie intolérante et antidémocratique au moment où elle est le plus malléable (ce que firent Adolf Hitler et Napoléon) ? Nous ne devons pas tolérer que nos écoles publiques ne se transforment en écoles coraniques ! De telles revendications sont la preuve que les inquiétudes partagées d’islamisation de la Suisse et de surpopulation étrangère sont entièrement légitimes.
« 23. Mener la discussion avec les personnes de confession musulmane, ne pas parler de/écrire sur, mais avec les minorités. »
Les islamistes se trouvent être la plupart du temps très peu ouverts au dialogue. C’est le cas sur le plan de la politique internationale d’Ahmadinejad (président de l’Iran), du Hamas et du Hezbollah. C’est le cas en Suisse de Tariq Ramadan et de son frère, Hani Ramadan et de Mme Kamous pour ne citer que quelques exemples.
Comme le dit le Prophète…
Croire encore en un islam tolérant, pacifique et civilisé, c’est faire abstraction (par mauvaise foi ou par ignorance) du contenu même du Coran. Mais au fait, que dit-il ?
[4 :89] « Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez pas d’alliés parmi eux, jusqu à ce qu’ils émigrent vers le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni alliés ni secoureurs. »
[3 :110] « Vous (les musulmans) êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes, vous ordonnez le convenable et interdisez le blâmable et croyez en Allah. Si les gens du livre (Juifs et Chrétiens) croyaient, ça serait mieux pour eux, il y en a qui ont foi, mais la plupart sont des pervers. »
L’islam appelle donc au massacre des Chrétiens et des Juifs, qu’il méprise profondément. L’intérêt à vouloir cacher une telle réalité est bien évident : se faire accepter dans les pays occidentaux pour mieux s’y imposer. La Suisse est un de ces pays !
Le régime islamiste
La stratégie est toute autre dans les pays à régime islamiste : les Juifs ou Chrétiens sont considérés comme des « dhimmis » : ils doivent porter des signes de reconnaissance distinctifs (ce qui n’est pas sans rappeler l’étoile que les juifs devaient porter sous l’Allemagne hitlérienne) et sont astreints à verser un impôt supplémentaire en vertu de leur appartenance religieuse.
Outre ceci, relevons que l’esclavage est encore activement pratiqué au Soudan et en Arabie Saoudite (voir notamment les chantiers des complexes hôteliers de Dubaï).
Quand aux femmes, elles sont battues sous n’importe quel prétexte, notamment si elles sont soupçonnées d’infidélité envers leurs époux (eux-mêmes ayant le droit de posséder chacun plusieurs femmes) et lapidées à mort si cela devait être un fait avéré. Leurs propres frères et parents se chargent de les battre (parfois à mort) si elles devaient avoir des relations sexuelles avant le mariage.
Et une fois dans l’islam plus question d’en ressortir : ceci est, sous régime islamiste, considéré comme un grave délit passible de la peine de mort.
Tel est le vrai visage de l’islam, celui qui porte le voile des apparences. Comme l’a reconnu la Convention Européenne des Droits de l’Homme, le Coran est incompatible avec la démocratie. Pire encore, il s’y attaque de front en cherchant à la remplacer par une immonde théocratie dictée par la Charia.
A ce titre, l’islam est bien plus qu’une religion anodine: un adversaire à la civilisation, à la liberté et à la justice.
(Voilà qui est parlé, ndlr !)
David Vaucher
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