Le cardinal George Pell, chef de l’Eglise catholique d’Australie, a estimé que la violence des réactions aux propos tenus par le pape sur l’islam "justifiait l’une des principales peurs de Benoît XVI".
"Elles démontrent le lien qu’établissent de nombreux islamistes entre religion et violence, ainsi que leur refus de répondre à la critique par des arguments rationnels, ne réagissant que par des manifestations, des menaces et une véritable violence", écrit l’archevêque de Sydney dans un communiqué.