Les propos du Pape sur l’islam et la violence divisent le monde politique helvétique. Les socialos protestent, un "chef religieux" n’a pas le droit de parler, la droite le défend, Zisyadis s’insurge, autant vous dire qu’au Vatican on se marre bien
Les propos du Pape sur l’islam et la violence divisent le monde politique helvétique. Les socialos protestent, un "chef religieux" n’a pas le droit de parler, la droite le défend, Zisyadis s’insurge, autant vous dire qu’au Vatican on se marre bien