Quand la presse faisait Mao en choeur

Il y a 30 ans, en septembre 1976, disparaissait un grand criminel, Mao Tsé Toung (60 millions de morts ?), encensé et pleuré par les grands quotidiens occidentaux. Libé trouvait le goût du "thé amer" depuis la mort du "Grand Timonier" pendant que Le Monde pleurait "un vide énorme" et le Figaro exaltait le "mandat céleste". Giscard D’Estaing, jamais en reste, écrasait la larmichette pour "le phare qui s’éteint". La suite dans le dernier numéro de Monde&Vie (23.09.2006)

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