Persuadé d’incarner un courant majoritaire, mais boudé dans les sondages, Philippe de Villiers n’a pas renoncé à jouer les trouble-fête et à se qualifier pour le second tour de la présidentielle de 2007. (L’Express – lire la suite)
Persuadé d’incarner un courant majoritaire, mais boudé dans les sondages, Philippe de Villiers n’a pas renoncé à jouer les trouble-fête et à se qualifier pour le second tour de la présidentielle de 2007. (L’Express – lire la suite)