Les renseignements généraux ont réalisé en janvier 2005 une étude sur les meneurs dans les quartiers. Ils ont notamment mis au jour leur origine, s’appuyant sur la consonance des noms de 436 meneurs venus de 24 quartiers sensibles qui ont été présentés à la justice. Parmi eux, « 87 % ont la nationalité française ; 67 % sont d’origine maghrébine et 17 % d’origine africaine. Les Français d’origine non immigrée représentent 9 % des meneurs », selon les RG. En août, SOS-Racisme a porté plainte contre ce classement jugé « illégal »