Dans une lettre du 11 octobre, signée par Claude Gueant, son directeur de cabinet, il déclare que le directeur du Centre Islamique de Genève «s’est signalé par des déclarations inacceptables en faveur de la lapidation des femmes adultères». Et que s’il venait à troubler l’ordre public, «nous en tirerions les conséquences qui s’imposent, en prenant toute mesure utile au regard du droit de séjour et, le cas échéant, en signalant son comportement aux autorités judiciaires»