Plusieurs commerces ont été victimes de deux bandes la semaine dernière. Les malfrats visaient les employés seuls pour subtiliser la caisse.
Pas de photo, pas de nom, pas de localisation. C’est à cette condition que ce commerçant accepte de parler des événements qui font vivre des heures angoissantes aux employés des boutiques de Carouge. «J’ai peur que, si les voleurs me reconnnaissent, ils brisent ma vitrine», dit-il. Deux bandes de deux à trois membres ont méthodiquement pillé les échopes de la cité sarde la semaine dernière.